Tout à l’heure, sur mon Facebook, s’affiche un visuel de Betty, la fameuse blogueuse mode qui selon la légende urbaine gagnerait un salaire à 5 chiffres grâce aux photos de sa petite vie all around the world. Betty, je l’aime bien, elle est jolie, un peu trop parfaite mais j’aime lire son blog de temps à autre. Pas ma BM préférée mais je suis trop curieuse pour ne pas aller voir ses superbes clichés (en vrai, toute cette perfection m’énerve un peu).
Et comme je regardais sa petite frimousse, je remarque ce pull trop mignon avec une cerise dessus. Je me dis « c’est marrant une cerise, c’est mignon, et puis il lui va vraiment bien, en y croyant très très fort, peut-être qu’il m’ira aussi bien à moi aussi, même si je fais 20 cm de moins que Betty ». Je suis dans ma période de déclaration d’amour aux pulls, je vous ferais une sélection bientôt tiens !
L’auto-persuasion de nécessiter d’un truc dont je n’ai absolument pas besoin fonctionnant très bien chez moi, je clique sur le lien du pull-cerise-trop-choupi en question. Et bam ! Cassage de rêve !
650 euros le pull. Je sais que Betty est riche. Je sais que c’est un Sonia Rykiel (j’avais bien vu la marque, noté tout à côté du lien mais l’espoir d’une collection capsule par une marque abordable a conditionné mon esprit malade). Je sais que c’est la mode, toussa.
Ma question de ce soir est donc : qui peut me tricoter le même s’il-vous-plait ?
Par contre, faudra m’expliquer qui sont les gens du marketing de la marque parce que chez Betty, j’achète, chez Sonia, je jette.
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