Parce qu’on a tous connu des moments où le sommeil joue aux abonnés absents et que tourner dans le lit est le truc le plus énervant du monde, je partage avec vous 5 astuces pour dormir comme un bébé et retrouver la forme.

• S’immerger complètement dans le noir

Pendant longtemps, j’ai gardé les volets ouverts lorsque je dors car j’aime être réveillée par la lumière du soleil. Mais en dehors du réveil agréable, la luminosité extérieure m’empêchait de m’endormir rapidement et d‘avoir un sommeil profond. Depuis que je dors dans le noir complet, il me faut 10 minutes à peine pour atteindre les bras de Morphée.

• S’éloigner des écrans et trouver une activité calme

Je ne suis pas encore au point mais bannir les écrans au moins 1h avant d’aller se coucher permet de ne pas être surexcité par la luminosité des écrans (et par le checking compulsif des réseaux sociaux). L’exception peut être faite si vous regarder un film en soirée, à condition que l’écran soit assez éloigné. Et on bannit la télé dans la chambre, c’est un véritable piège à sommeil.

• S’endormir avant minuit

Un vrai challenge pour moi qui suit plus du matin et du soir mais je ne peux pas aller contre le fait que je me sens plus reposée quand je me couche aux alentours de 22h30. Passé 1h du matin, j’ai l’impression d’avoir fait la fiesta toute la nuit même avec une grasse matinée. Et c’est bien connu, chaque heure de sommeil avant minuit compte double ! Autant en profiter !

• Avoir un rituel bien-être

Ça peut être se masser les pieds, lire quelques pages d’un livre, écouter une musique particulière, faire une séance de méditation ou quelques postures de yoga. Quand je suis trop contrariée pour aller me coucher, j’écris dans un cahier ce que j’ai sur le cœur. En général, ça fonctionne bien, comme si d’avoir confié mon problème sur papier me permettait de le mettre de côté pour le régler plus tard.

• Respecter les cycles de sommeil

Un cycle complet dure environ 1h30. Il faut donc compter les cycles et adapter l’heure de réveil par rapport à l’heure du coucher (comptez 15-20mn le temps de vous endormir). Je ne suis pas du tout du matin mais depuis que j’applique cette règle, j’ai l’impression de me réveiller au bon moment et pas d’être arrachée de force à mon sommeil. (Pour sortir de mon lit, c’est une autre affaire…)

Si malgré toutes ces astuces, vous avez encore du mal à trouver le sommeil une fois glissé dans les draps, j’ai testé pour vous un objet discret mais très bénéfique qui permet d’apprendre comment s’endormir calmement grâce à un rythme de respirations qui appelle à l’apaisement. Ce principe est calqué sur celui de la méditation où l’on se concentre sur sa respiration en laissant passer les pensées parasites sans s’y attacher.

Le principe de Dodow, c’est d’afficher un halo de lumière bleue au plafond qui va vous permettre de vous concentrer pendant un instant et de synchroniser votre respiration en fonction de la lumière. Vous avez le choix entre une session de 8 mn ou de 20 mn, le boitier s’éteindra tout seul au bout de ce laps de temps. La lumière n’est pas gênante lorsque vous fermez les yeux, aucun risque que le boitier vous réveille (ou votre conjoint) si vous fermez les yeux avant le temps imparti.

Un livret vous donne quelques conseils et exercices de respiration pour vous guider et retrouver rapidement un sommeil de qualité ! Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site Dodow.

Je vous souhaite de beaux rêves !

Et si ça vous tente de gagner un Dodow pour pouvoir chasser les insomnies, il y a un à gagner sur mon compte Instagram.

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J’ai tout de même tenu à participer à la présentation du service en détail par l’équipe dynamique et souriante de Citiz au cours d’une soirée très conviviale. J’ai ainsi découvert le fonctionnement de l’autopartage et pu poser toutes mes questions sur ce service.

Comment fonctionne Citiz ?

Citiz est un service d’autopartage lancé sur Bordeaux et la CUB : il s’agit de voitures en libre-service, disponibles 24h/24 pour des usages occasionnels allant de 30 min à plusieurs jours, voire plusieurs semaines.

L’autopartage vous permet d’avoir :

• un véhicule proche de chez vous ou de votre lieu de travail
• un choix entre plusieurs modèles
• une disponibilité 24h/24 et 7j/7
• le carburant inclus
• une assurance tous risque incluse
• une facturation basée sur l’usage réel

Pour plus d’infos, cliquez ici.

A quoi sert l’autopartage ?

• A économiser les frais inhérents à la possession d’une voiture : si l’utilisation de votre voiture se limite à quelques déplacements par mois, adieu crédit et assurance auto. Opter pour un véhicule en autopartage vous coûtera moins cher sur l’année que de posséder votre propre véhicule.
• A avoir un véhicule sous la main : le vélo ou le bus, ce n’est pas très pratique lors qu’il s’agit d’aller chercher une nouvelle armoire chez Ikéa. Plus de prise de tête, il suffit de réserver un véhicule en autopartage pour quelques heures !
• A être éco-citoyen : l’autopartage permet de limiter le trafic routier en ville et le manque de place de parking. C’est aussi un bon moyen de se forcer à prendre les transports en commun ou de marcher dès que possible, et de n’utiliser la voiture qu’en cas de réelle nécessité.

Le nouveau service Yea

Pour pallier à l’inconvénient de retourner le véhicule d’autopartage sur la même place de parking qu’au départ – le gros point négatif selon moi -, Citiz a lancé il y a peu une campagne de crowdfunding et qui a rencontré un vif succès. Le montant nécessaire a été collecté et le service Yea a vu le jour le 3 mai dernier : ce nouveau concept propose plusieurs véhicules en centre-ville de Bordeaux, véhicules qui peuvent être utilisés et retournés dans plusieurs zones du centre, délimitées par les boulevards, sans obligation de respecter l’endroit de départ. Une belle alternative pour faciliter encore plus les déplacements en voiture dans Bordeaux.

Pour plus d’infos, cliquez ici.

Mon seul regret est d’habiter dans une zone où il n’y a pas le tram et donc de ne pas vraiment pouvoir abandonner ma voiture au profit de ce système. Mais si je vivais en plein centre-ville, je n’hésiterais pas une seule seconde à préférer la facilité d’une voiture que je peux utiliser temporairement au casse-tête de la location d’un garage ou d’une place de parking, du crédit à rembourser, des visites chez le garagiste et des assurances hors de prix. (Faites le calcul du coût d’une voiture VS le coût de la location, juste pour voir…)

Et vous, vous avez déjà tester les véhicules en auto-partage ? Qu’en pensez-vous ?

* CONCOURS *

Pour vous permettre de tester le concept, Citiz Bordeaux a décidé d’offrir un abonnement d’une valeur de 48 euros sur l’utilisation du d’autopartage à l’un de mes lecteurs, ce qui équivaut à 3 ou 6 mois d’abonnement en fonction de la formule choisie ensuite.

Pour participer, il suffit de remplir le formulaire ci-dessous. La seule condition est… d’avoir le permis bien sûr !
Le concours se terminera le 30 juin 2017 à minuit.

La gagnante est Cécile B. Félicitations !

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Trente-quatre, c’est 35-1. Un chiffre qui me donne des frissons plutôt que des fous rires. J’ai toujours eu du mal avec les âges qui finissent par 4. C’est pourtant mon chiffre mais je me souviens d’avoir refusé d’être bien lunée quand c’est arrivé pendant la dizaine d’avant.  C’est peut-être que l’arrivée à mi-chemin est pour moi plus importante que le passage à l’étape d’après : une sorte de bilan obligatoire qui nous donne envie de courir encore un peu plus vite vers ce qu’on veut accomplir, avec parfois la sensation de s’être épuisé « pour rien » quand on regarde en arrière.

J’aimerais me dire juste avant mes 35anspresque40, que je me connais, que je sais comment gérer ma personnalité, que j’ai réglé des milliards de choses qui devait l’être. Que je mène ma barque sans sourciller vers les rêves de ma vie et que jamais je ne me laisse submerger par les vagues de la vie. En réalité, j’ai l’impression de toucher du bout des doigts ce moi virevoltant à chaque fois que je le cherche, et je le vois s’enfuir à toute vitesse pour le plaisir de me voir continuer à courir dans tous les sens.

Trente-quatre, c’est l’âge où j’ai décidé de renouer avec mes premières amours, pour de vrai. La musique que j’ai trop longtemps laissé de côté. La lecture parce que le temps ne passe pas pareil quand on se plonge dans un livre. L’écriture parce que délaisser cet endroit, et les autres que j’ai envie de créer, ça me rend triste. Ça me rend triste parce que j’ai laissé les peurs des autres me dire qu’il fallait avoir des passions « utiles »  dans la vie, qu’être trop rêveur, ce n’est pas bon pour la santé. Alors j’ai remplacé les vocalises par un écran de téléphone sur lequel je ne créé pas grand-chose d’autres que des frustrations.

Trente-quatre, c’est aussi l’âge des convictions, des petits combats du quotidien, de la revendication. C’est cultiver son droit à la différence, même si on se demande toujours si la vie qu’on a choisi nous rend vraiment heureux, si on ne va pas manquer un truc si on ne fait pas pareil que la voisine (la sacro-sainte comparaison, la mère de tous les [mes] maux). C’est se rendre compte qu’on veut une vie légère, qu’on apprécie quand même bien ses habitudes. C’est aimer moins de gens mais les aimer beaucoup plus fort, comme si on formait la même famille, les obligations en moins.

Trente-quatre, c’est être focalisé sur son corps, un corps qui se fatigue plus, qui parfois se fait la malle, qui change beaucoup même si on n’est pas tellement d’accord. C’est se demander pourquoi on n’a jamais pris l’habitude de faire un peu de sport et réparer cette erreur, même si le premier pas est toujours le plus compliqué.

Trente-quatre, c’est être toujours pétrie de mille questions qui fusent mais savoir que là-dedans, pas grand-chose n’est grave. C’est savoir que tout va bien se passer si on décide de coller un sourire sur ses journées, c’est apprendre à lâcher-prise, un peu plus tous les jours, même quand on est morte de trouille. Même (et surtout) quand on est fatiguée.

Trente-quatre, c’est l’âge où je voudrais transpirer le vrai moi par tous les pores de ma peau, celui que je vois quand je m’observe à l’intérieur.

J’espère que pendant cette année des trente-quatre,mon envie de bien faire décidera de faire ses valises au profit d’un peu plus de passion, de débordement, d’erreurs et de défis. Je souhaite de tout cœur à cette petite année en 4 de déployer ses grandes ailes pour que je m’envole encore un peu plus haut, là où s’est cachée mon âme d’enfant.

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Pas facile d’oublier nos automatismes lorsqu’on souhaite accorder un vin avec le plat du jour. J’ai longtemps cru que seul les vins rouges se buvaient sur la plupart des plats et que le vin blanc était réservé aux poissons et à quelques desserts. Grâce à Sweet Bordeaux, j’ai redécouvert les saveurs des vins blanc liquoreux : je partais de loin puisque j’avais longtemps abandonné les liquoreux, que je trouvais trop sucrés, au profit des vins blancs secs. C’était donc un vrai défi de me faire apprécier le mélange entre les 8 recettes que nous a préparé le chef Aurélien Crosato, recettes que nous avons vues se préparer direct en cuisine. Cette dégustation à la bonne franquette sur le plan de travail de la cuisine, à discuter de nos ressentis était d’ailleurs très agréable et décomplexante sur mes connaissances œnologiques.
 

Mon accord préféré s’est porté sur la courge musquée accompagné d’un fromage de brebis et de vinaigre balsamique élevé en barrique (un trésor, à + de 100€ la bouteille, mais un vrai délice pour les papilles). Ce plat fut accompagné d’un vin Sauternes. De manière générale, l’accord mets/vins blancs liquoreux nous a fait comprendre qu’il fallait justement oser ces accompagnements, notamment avec des plats salés et forts en saveur, pour détourner le côté sucré des liquoreux et équilibré les saveurs du plat et du vin. Forte de ces nouvelles connaissances, je n’hésiterai plus à commander ce genre de vin au restaurant, ou à en proposer sur certaines recettes pour surprendre.

Si vous souhaitez vous aussi approfondir vos connaissances en vin blanc liquoreux, n’hésitez pas à vous rapprocher de Sweet Bordeaux. Créé en 2009, la marque regroupe les 10 appellations productrices de vins moelleux et liquoreux de Bordeaux. Son objectif est de renouveler la consommation de ces vins et elle organise régulièrement des soirées de dégustation pour découvrir leurs saveurs.

Et vous, vous êtes plutôt vin blanc ou vin rouge ?

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Comme chaque année début décembre, c’est le moment de la liste au Père Noël et celui où l’on se creuse la tête pour savoir quel cadeau offrir à qui, avec un soupçon d’originalité pour changer de l’éternel paquet cadeau cachant une cravate ou un parfum. Cette année encore, je vous propose une sélection de mes idées cadeaux  de Noël à mettre sous le sapin le 25 décembre. Petit ou grand présent, peu importe la valeur de celui-ci du moment qu’il est choisi avec le cœur.

# Spoiler #

Restez connectés à la page Facebook du blog car certains objets de la sélection seront à remporter. Une façon de vous dire merci à vous qui êtes fidèles derrière votre écran depuis déjà de nombreuses années.

Une sélection de cadeaux de Noël

Offrez une étoile lumineuse en décoration avec ce modèle en bois de chez Etsy ou une de celles qui illuminent le ciel via les différents coffrets proposés par le site Etoilez-moi.

Pour les aventuriers, un Escape Game devrait les ravir. Escape Hunt propose des coffrets à offrir pour Noël, avec des parcours valables dans toute la France. J’ai testé le concept et j’en parle ici.

Pour des cadeaux geek, kawaï ou décalés, Cadeaux Folies est une profusion de choix en matière de cadeaux de Noël à découvrir ici. Ici, une veilleuse licorne, et un écohub USB qui fait pousser une plante.

Des ensembles de cotons démaquillants lavables qui sont tout doux pour la peau et éco-responsables, ainsi qu’une panoplie de pinceaux écologiques en bois.

Pour ceux qui n’ont pas les moyens d’acheter des cadeaux neufs (ou pas envie), vous avez également la solution du « fait-main » : les jarres à cookies ou les produits de beauté faits maison seront très appréciés. N’hésitez pas aussi à mettre la main sur des objets d’occasion qui sont parfois quasi neufs et à arpentez des sites comme Ebay, Vinted ou le Bon Coin.

Et pour ceux qui aiment allier le shopping avec les bons plans, je rappelle que vous pouvez cumuler du cashback à chaque achat sur iGraal. 3€ sont offerts à chaque nouvelle inscription avant le 31/12/2016 en cliquant sur ce lien. J’en parle en détails sur cet article si vous vous posez des questions sur le fonctionnement.

Je vous souhaite de joyeuses fêtes et RDV sur la page Facebook de Little Black Sheep pour une avalanche de cadeaux.

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Anciens favoris de la famille royale au temps de Louis XV, les vins de Fronsac font partie du terroir viticole bordelais dont les vignes se situent plutôt vers le Libournais. Le Château de la Dauphine m’a ouvert ses portes pour en connaître un peu plus sur ces vins de caractère.

La visite du Château

Je me suis donc rendue mi-octobre à Fronsac pour une dégustation des crûs du Château de la Dauphine autour d’un jeu d’arômes et de saveurs. Au fil de la route, je savoure d’avance cette expérience et j’ouvre grand les yeux devant les paysages et les domaines viticoles de la région qui ne passent pas inaperçus étant donné que, coïncidence, les Portes Ouvertes des domaines du Fronsac se déroulent en ce moment-même. Marion, la responsable œnotourisme du château, nous accueille avec l���agréable surprise d’avoir les lieux rien que pour nous en cette matinée ensoleillée.

La visite commence par le vignoble qui s’étend sur 53 hectares. En observant le domaine de l’entrée du parc, nous comprenons le coup de cœur de Jean Halley pour son projet de restauration et de développement du potentiel du Château de la Dauphine (le domaine a été racheté depuis peu par une autre famille française).

Des produits issus de l’Agriculture Biologique

J’accorde désormais beaucoup d’importance à la qualité des produits que j’achète et à ma grande surprise, la démarche du Château de la Dauphine est de proposer des vins de qualité en respectant les principes de l’agriculture biologique, à savoir l’absence de traitement chimique et le retour à une agriculture manuelle (labourage, cueillette). J’ai également découvert ce qu’est la biodynamie puisque l’équipe de Château met en place une culture de la vigne respectant les cycles de la nature selon le calendrier lunaire pour améliorer la production tout en respectant la nature.

Le domaine est également est un grand précurseur dans les technologies de pointe du traitement des grappes et de la vinification puisque certaines techniques comme le « double tri mécanique et manuel » ou le « cuvier circulaire avec gestion gravitaire du raisin » ont été élaborées par le Château de la Dauphine (et copiées par la concurrence ensuite, forcément). C’était en tout cas impressionnant de voir la conjugaison entre les techniques modernes de fabrication du vin et le savoir-faire ancestral des viticulteurs et maîtres de chai.

Dégustation du Château de la Dauphine et du Delphis de la Dauphine

Lors de l’atelier d’olfaction, Marion est partie sur 2 vins différents : le Château de la Dauphine qui est un vin plutôt élégant à base d’arômes de fruits noirs épicés, et le Delphis de la Dauphine, plus gourmand. La dégustation s’est fait sur 3 millésimes différents : un Château de la Dauphine 2010 et 2012 et un Delphis de 2014. Tout l’atelier résidait dans le fait de se familiariser d’abord avec des senteurs que l’on peut retrouver dans le vin : réglisse, truffe, cassis, violette, poivre, etc… Très déstabilisant car je pense que nous avons l’habitude des senteurs édulcorés dans notre quotidien et « avoir du nez » n’est pas forcément une chose facile.

Ensuite, le meilleur moment fut de s’initier aux techniques de la dégustation : reconnaître un vin jeune d’un vin plus âgé, apprécier les différentes étapes de la dégustation, reconnaître les différences entre chaque crû et… choisir son préféré.

J’ai pour ma part jeté mon dévolu sur le Château de la Dauphine 2012 qui m’a sacrément plu car c’est un Bordeaux de caractère mais qui a malgré tout une finesse en bouche assez agréable et différente des crûs plus astringents dont j’ai l’habitude (sûrement dû à son millésime). Son seul défaut est qu’il monte vite à la tête donc à consommer avec modération.

Je remercie Marion pour sa disponibilité et sa gentillesse durant la visite car j’ai vraiment passé un moment privilégié et en toute simplicité, ainsi que toute l’équipe du Château de la Dauphine pour m’avoir ouvert leurs portes et partagé un peu des secrets de leurs doux breuvages.

Si vous voulez plus d’informations ou venir vous aussi faire un atelier de dégustation, RDV sur le site du Château de la Dauphine.

Avez-vous déjà eu l’occasion de goûter un vin de Fronsac ? Si oui, lequel ?

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Je suis entourée de gens talentueux dont j’admire le courage de se lancer dans des projets un peu fous et décalés. J’aime d’autant plus les artistes qui ont su faire fi de la sécurité d’une vie bien rangée pour vivre de leur art. Et j’ai une vraie admiration pour ces chanteurs qui osent se poser devant un micro, face à une scène, pour jouer avec leur voix.

Profession : chanteuse

Mon amie Florence fait partie de ces personnes qui ont le courage, le talent et 1000 vies en une. J’ai rencontré Flo via ma petite sœur avec qui elle bossait sur Paris et j’ai eu la chance, quelques années plus tard, qu’elle m’accompagne au chant et à la guitare quand ma sœur s’est mariée.

Florence a pratiquement toujours un instrument de musique à portée de la main. Elle a commencé avec la flûte traversière puis a enchaîné avec une école de comédie musicale pour éprouver sa voix. J’ai aussi suivi à distance son périple québécois de 2010 à 2012 où elle s’est produite dans les bars sous le nom de You Say Flo I Say Flo et où elle a enregistré un EP solo (Behind My Mind).

Les Promesses : le nouveau défi !

Elle revient cette année avec un nouvel EP solo qui s’intitule Les Promesses – en français donc – : un vrai challenge pour elle qui ne chante pratiquement qu’en anglais et une façon de donner vie à des textes plus intimes. La musique de Florence a des accents de folk, ce qui n’est pas pour déplaire à la fan de country que je suis, et elle s’inspire de Glen Hansard, Damien, Rice, Pascale Picard, The Barr Brothers, et tant d’autres. Elle m’a aussi fait découvrir les Sœurs Boulet, chanteuses québécoises à texte, ce qui explique un peu ce mélange des genres.

Malgré ce nouvel album très intime et fort, je peux vous assurer que Florence, c’est aussi un sourire et une gaieté à toute épreuve.

Vous pouvez télécharger l’EP de Florence sur Bandcamp et la suivre sur sa page officielle.

Le groupe KissandCry

Comme ce n’est pas assez de se produire par elle-même, Florence officie aussi dans un groupe avec son acolyte David depuis son arrivée à Toulouse fin 2012. KissandCry est le savant mélange entre la folk de Florence et le rock de David qui s’est formé à la musique en quasi autodidacte et qui prend souvent le rôle de compositeur/arrangeur sur les morceaux. Le nom du groupe vient d’une expression dans le domaine du patinage artistique : c’est le lieu où les patineurs attendent de recevoir leur note après une prestation, et donc s’embrassent (Kiss) ou pleurent (Cry).

J’ai eu la chance de voir Kiss & Cry sur scène plusieurs fois et si vous êtes dans les parages de Toulouse, je vous conseille vivement de les voir en live, et de profiter des très bonnes adresses où ils se produisent. C’est un très bon mix entre la musicalité et le sentimentalisme de la folk et l’énergie du rock.

Vous pouvez télécharger l’EP de Kiss&Cry sur Bandcamp et les suivre sur leur page officielle.

N’hésitez pas à aller écouter les EP et à partager votre ressenti en commentaire.

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Depuis le premier jour où j’ai possédé un appareil photo numérique, le cauchemar du tri, du classement et surtout du développement a fait son apparition. Je ne compte pas le nombre de dossiers où des photos à imprimer attendent sagement leur heure, pendant que je rêve de prendre un week-end pour faire des albums photos « à l’ancienne » comme ceux que je peux retrouver chez mes parents quand je veux revoir ma frimousse de petite fille.

Je n’ai donc pas raté l’occasion d’imprimer les photos de mon voyage de l’an dernier, à Marie-Galante et Saint-Barthélémy, pour avoir un souvenir des photos sur lesquelles j’ai passé des heures à expérimenter mes talents de photographe amateur. La route a été longue pour pouvoir tenir cet album Fujifilm entre mes mains, entre le traitement des photos, les bugs de mon ordi, le code de commande qui ne fonctionne pas, etc… Mais je remercie mon contact pour sa patience sans limite.

Le fonctionnement du logiciel de création est un peu lourd et j’ai du m’y reprendre à plusieurs fois pour comprendre comment organiser, retoucher et améliorer la mise en page, que j’ai gardé plutôt simple pour pouvoir avoir mes photos en grand sur du papier photo de qualité. C’est le seul point à améliorer pour moi : simplifier le logiciel dans la partie « création d’album ». Le reste est plutôt enfantin au niveau du choix de l’album  : un petit tour sur le site permet de se donner une idée et connaître le nombre de photos à imprimer peut s’avérer utile pour déterminer combien de photos sont associées à chaque page. J’ai aimé aussi le fait de pouvoir insérer une création personnelle – que j’ai utilisé pour scinder l’album en 2 parties – malgré le fait que la qualité d’impression soit moindre (mais ça vient certainement de mon fichier de base).

Mon choix d’album s’est porté sur l’album photo A4 Brillant Satiné. Lors de la réception, j’ai été impressionnée par la qualité du papier photo et le rendu de mes clichés. Pas peu fière de ce que j’ai réussi à faire avec mon Fuji XT-10 et un poil de Lighroom, il y a quelques images que j’imprimerais bien en plus grand, notamment les couchers de soleil magiques de Saint-Barth.

Je suis ravie donc de pouvoir ranger ce très joli album entre les livres de ma bibliothèque et le parcourir de temps en temps pour me remémorer les plages paradisiaques dont j’ai pu profité.

Et vous allez pouvoir en profiter vous aussi puisque Fujifilm met en jeu un livre photo pour l’un de mes lecteurs.
Et il y a -25% sur tous les albums jusqu’au 23/10/2016.

* CONCOURS *

1/ Indiquez-moi en commentaire ce que vous allez mettre dans le livre photo Fujifilm.

2/ Si vous voulez mettre toutes les chances de votre côté, vous pouvez :
– Rejoindre la page Facebook du blog (+1 chance)
– Partager le concours sur les réseaux sociaux (+1 chance) en notant le lien du partage en commentaire (cliquez ici pour savoir comment faire).

Vous avez jusqu’au 31 octobre 2016 à minuit pour jouer !

Bonne chance et un grand merci à Fujifilm pour sa confiance !

La gagnante est Julie (participation n°41). Félicitations !

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Lorsqu’on offre un cadeau à la naissance d’un être qui nous deviendra cher, on pense souvent à des choses matérielles et pratiques pour faciliter la vie des futurs parents. Mon grand plaisir est souvent de me ruer sur les petites tenues trop mignonnes qu’on trouve dans les grands magasins ou sur le net. A mon grand désarroi, ce genre de cadeau ne dure qu’un temps puisque les enfants grandissent comme des champignons et la taille 3 mois est très rapidement reléguée aux oubliettes.

J’ai été élevée au rang de Tatie il y a peu, et ce petit bout a changé ma vie tellement j’ai envie de le manger tout crû et de tout faire pour qu’il puisse être heureux et devenir celui qui a envie d’être. Quand Natacha d’Etoilez-moi m’a proposé d’offrir une étoile à la personne de mon choix, j’ai tout de suite pensé à lui. Lui offrir une bonne étoile pour veiller sur lui, moi qui porte les miennes sur ma peau. Une façon aussi de penser l’un à l’autre en regardant le ciel puisque nous ne vivons pas dans la même région.

Certains trouveront ça inutile ou trop sentimental. Je trouve au contraire qu’une étoile reste symbolique dans la manière de conforter d’une présence lorsqu’on est pas là physiquement. L’étoile est une sorte de guide qui nous oblige à avancer et à espérer ce qui nous tiens à cœur dans la vie.

Toute occasion est bonne pour offrir ce cadeau et il y a plusieurs coffrets proposés sur le site, notamment certains avec un bijou qui permet de porter son cadeau autour du cou, un beau bijou étant pour moi un cadeau intemporel, qui se transmet de génération en génération (j’aurais tant rêvé que ma mère me transmette une bague ou un collier mais elle n’aimait pas tellement les bijoux). Que ce soit pour célébrer l’arrivée d’un enfant, de célébrer une date importante ou un être cher, offrir une étoile est un joli projet très poétique.

Je vous offre aujourd’hui l’occasion de remporter un coffret Tu Es Unique d’une valeur de 65 € et de dédicacer une étoile à une personne qui vous aimez.

* CONCOURS *

1/ Indiquez-moi en commentaire à qui vous voulez offrir cette étoile.

2/ Si vous voulez mettre toutes les chances de votre côté, vous pouvez :
– Rejoindre la page Facebook du blog (+1 chance)
– Partager le concours sur les réseaux sociaux (+1 chance) en notant le lien du partage en commentaire (cliquez ici pour savoir comment faire).

Vous avez jusqu’au 30 septembre 2016 à minuit pour jouer !

Bonne chance !

La gagnante est Olivia P. Félicitations !

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Le luxe en tout simplicité ! C’est ce que j’ai pu tester il y a quelques jours sur la plage Péreire d’Arcachon en me faisant livrer mon pique-nique directement (ou presque) sur ma serviette de plage. La ville d’Arcachon est actuellement une zone-test de ce nouveau service proposé par le livreur de fooding Deliveroo (les petits kangourous en vélo) pour faciliter la vie des vacanciers et leur permettre de profiter de la plage au maximum. Effectivement, le fait de ne pas avoir à aller vers le centre-ville pour chercher notre déjeuner nous a permis d’avoir un super spot sur la plage et de ne plus en bouger (idem pour la place de parking).

Avec mon amie, nous avons jeté notre dévolu sur El Bocadillo qui propose sandwichs, paninis et salades. J’ai fait ma gourmande en prenant un sandwich végétarien et une salade thaï que j’ai fini par partager et mon amie a préféré un repas plus léger avec des wraps. En dessert, un panini au chocolat qui était un peu de trop (mais ça ne m’a pas empêché de dévorer une glace à l’italienne quelques heures plus tard).

Au niveau du choix de restos, 20 des meilleurs restaurants de la ville proposent leurs plats en livraison durant toute la période estivale, et jusqu’au mois septembre. Il y en a un peu pour tous les goûts (burgers, salades, oriental, etc…) mais le grand luxe, c’est la plateau de fruits de mer. Livrable direct à l’entrée des plages, c’est quand même la bonne idée pour épater son futur amour de vacances.

J’ai vraiment aimé le concept et j’espère que cette expérience sera un succès pour être adaptée à d’autres lieux de vacances. Avec l’installation de « spots » de livraison reconnaissables pour épargner les pauvres livreurs qui peinent parfois à nous trouver sur leur vélo par 35°.

Vous avez envie de tester ce service (sur la plage ou chez vous) ? Cliquez ici pour obtenir 5€ de réduction lors de votre inscription !

Merci Deliveroo de m’avoir permis de tester ce service.

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