C’est ce que m’a dit ma mère le jour où j’ai ramené ma première mauvaise note.
Je me rappelle aussi la gifle quand j’ai eu l’audace d’une insulte à son égard.
J’économisais mes 100 francs du mois pour pouvoir m’offrir mon StarClub et mes premières clopes que je crapotais.
A mon anniversaire, j’avais un jeu vidéo. Un seul. Parce que ça coûtait cher.
J’ai fait ma crise d’ado, à base de petits mensonges et factures de téléphone trop salées au goût de mon père.
Un jour, j’ai eu envie de voler de mes propres ailes. Je suis partie vivre ma vie. Et travailler.
Expliquez-moi donc qui sont ces jeunes gens à peine majeur qui insultent leur génitrice de « connasse » dès lors qu’elles osent les réveiller avant 17 heures ou leur demande de débarrasser la table. Alors qu’elle ne fait que financer l’essence des sorties, la dernière Playstation et les baskets à 500 balles, cette vieille radasse. Et en plus, elle se lève le matin pour aller trimer, cette conne.
Vive notre époque, la belle jeunesse française…
Privée de console
C’est ce que m’a dit ma mère le jour où j’ai ramené ma première mauvaise note.
Je me rappelle aussi la gifle quand j’ai eu l’audace d’une insulte à son égard.
J’économisais mes 100 francs du mois pour pouvoir m’offrir mon StarClub et mes premières clopes que je crapotais.
A mon anniversaire, j’avais un jeu vidéo. Un seul. Parce que ça coûtait cher.
J’ai fait ma crise d’ado, à base de petits mensonges et factures de téléphone trop salées au goût de mon père.
Un jour, j’ai eu envie de voler de mes propres ailes. Je suis partie vivre ma vie. Et travailler.
Expliquez-moi donc qui sont ces jeunes gens à peine majeur qui insultent leur génitrice de « connasse » dès lors qu’elles osent les réveiller avant 17 heures ou leur demande de débarrasser la table. Alors qu’elle ne fait que financer l’essence des sorties, la dernière Playstation et les baskets à 500 balles, cette vieille radasse. Et en plus, elle se lève le matin pour aller trimer, cette conne.
Vive notre époque, la belle jeunesse française…