On le sait tous, les commerces de proximité souffrent de l’apparition des grandes chaînes industrielles et des centres commerciaux où l’on peut tout trouver au même endroit, sans parler des sites de shopping en ligne qui permettent de commander en restant chez soi. Je suis une mauvaise élève mais depuis un moment, je me surprends à aimer flâner et découvrir les boutiques insolites de Bordeaux et leurs produits locaux, une nouvelle habitude qui est en corrélation avec ma volonté de faire attention à ce que j’achète (qualité, provenance, etc…). Mon principal frein est d’habiter en périphérie urbaine, dans une zone qui ne regroupe que des habitations et quelques entreprises, ce qui n’est pas forcément motivant quand vient l’heure de prendre ma voiture jusqu’en centre-ville, me garer et aller arpenter les rues de ma jolie ville de Bordeaux.
Capeline Summer Style
Lorsque vient l’été, ma principale préoccupation en dehors de l’épilation parfaite de mes gambettes, c’est de me protéger correctement du soleil. Ayant la peau très claire, je suis très sensible et le coup de soleil est garanti si je ne prête pas attention à m’exposer de manière judicieuse. Pourtant, il y a une partie du corps où il est difficile de s’étaler correctement de la crème solaire : j’ai nommé le crâne. Que celui qui n’a jamais connu le coup de soleil sur le cuir chevelu soit béni. C’est un des plus pénibles que je connaisse : compliqué à soulager et très douloureux, surtout au moment de se brosser les cheveux.
Du coup, depuis quelques années, je dégaine le chapeau dès que je m’expose pour une longue durée (surtout sur la plage). Cette technique a le mérite d’éviter le coup de soleil mais aussi l’insolation qui m’a déjà fait passer de sales quarts d’heure lorsque j’étais ado. J’ai mis longtemps à me faire à cet accessoire de mode mais je lui trouve désormais un côté très bohème et une façon de planquer son scalp pendant un bad hair day.
Les pieds au chaud
Nous sommes presque fin juin et cet article n’est donc pas du tout d’actualité à moins que vous ne fassiez partie des plus grands frileux sur terre. J’ai toujours aimé avoir les pieds au chaud, été comme hiver (surtout l’hiver pour être honnête) et il n’y a rien de pire pour moi de me trimballer avec des tennis humides et les doigts de pieds prêts à se désolidariser du reste de mon corps. Je suis donc une grande fan des chaussons ridicules, ceux qui vous font d’énormes pieds et la démarche d’un éléphant dans un magasin de porcelaine. Je reste partisane du bon goût et suis donc extrêmement pointilleuse sur le genre d’accessoires douillets mais risibles qui orneront mon petit 34 fillette une fois dépassé le pas de ma porte (je ne balade pas encore en ville avec) (je mets mes Ugg à la place).
A poil ou en fourrure ?
Loin de moi l’idée de vouloir créer une polémique autour de la vraie ou la fausse fourrure, encore moins de poser nue pour une campagne PETA. Je vais vous parler aujourd’hui de mon addiction à la fourrure (synthétique), cette matière douce et chaude à la fois qu’on retrouve désormais un peu partout : sur les vêtements, dans la déco, etc…
Je possède pas mal d’objets en fourrure. Un énorme plaid que je surnomme « Game Of Thrones » dans lequel je me blottis les froides soirées d’hiver. Ma bouillotte qui ressemble à un petit animal mort. Le col de mon manteau préféré. Mais je n’avais pas d’écharpe en fourrure, accessoire fashion un peu désuet mais toujours aussi mignon. J’ai donc décidé qu’il était temps d’acquérir un col en fourrure chez Headict, doux et chaud, qui s’accommode parfaitement avec ma petite veste en cuir (et qui me permet de la porter sans me geler le cou). Du faux cuir, de la fausse fourrure, me voilà relookée et copine des animaux (poke Brigitte Bardot).
Shopping de Noël #3 : les petits cadeaux qui font plaisir
Petit ou gros cadeau, c’est l’intention qui compte. Et il y a parfois de petites merveilles qui réchauffent le cœur de celui qui le reçoit, sans faire fondre le portefeuille de celui qui offre.
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Ces robes qu’on ne porte pas
Elle est pourtant jolie accrochée là sur son portant, avec son col en dentelle et ses petits boutons sur le devant. Je l’ai acheté en mai 2008 ; portée en août 2012 ; et puis remisée sur un joli cintre en bois, cachée au milieu d’autres copines. Je ne sais pas tellement pourquoi je ne la porte pas. Elle est tellement jolie mais je n’ai pas les bonnes chaussures. C’est un modèle d’été mais elle me tient un peu chaud. Et puis si jamais il fait froid le soir, je n’ai pas de gilet assorti.Mais je crois surtout que je n’assume pas ce côté fille qu’elle me donne, cette dentelle qui me rendrait mignonne, cette longueur qui me parait trop sage.
Alors je préfère la regarder habiller ma penderie, un peu comme toutes ses jolies robes que je n’ose porter de peur de me sentir déguisée, plus vraiment moi, pas tellement une autre.
Des tonnes de bracelets à tous les poignets – Concours Love And People
Je porte des bracelets depuis peu de temps. J’ai longtemps admiré les filles qui portaient de nombreux colifichets à leurs bras, plus particulièrement les grosses pièces bien larges qu’on appelle maintenant des manchettes. Malheureusement, en plus d’avoir des pieds de liliputiens, la nature m’a doté de poignets ayant le même diamètre que celui d’un enfant de 5 ans. Autant vous dire que l’équation du bracelet parfait comportait bien trop d’inconnues pour que je me lance : il faut qu’il soit beau (la base), il faut qu’il soit très étroit (mission périlleuse) et large-sans-trop-l’être (impossibeul).
Petit-déjeuner aux Galeries Lafayette
Je ne savais pas trop à quoi m’attendre samedi matin lorsque je me suis rendue rue Sainte-Catherine au rendez-vous donné par les Galeries Lafayette de Bordeaux. Un petit déjeuner sous le soleil bordelais, ça ne se refuse pas et puis je savais que j’allais passer un bon moment et sûrement faire de jolies rencontres.
Apéro chez French Disorder
Parisiens à la base, les créateurs de French Disorder ont eu la très bonne idée de venir s’installer à Bordeaux (et comme je les comprends !), et ont élu domicile pas très loin de ma Faustinette. Et pour fêter leur première année en Gironde, ils ont conviés la blogo bordelaise à venir savourer un verre de bon vin en visitant leur showroom, aménagé pour le moment dans leur superbe maison. Javi avait mis les petits plats dans les grands avec un délicieux buffet maison, Cédric s’assurait que nos verres étaient toujours bien remplis et Isa nous racontait sa folle expérience de déménagement éclair lors des inondations de l’été dernier.
Arrondir ses fins de mois
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Petit aparté : hier, j’ai complètement oublié de vous parler du concours organisé sur mon compte Instagram pour fêter les 600 abonnés. RDV sur la photo concernée pour y mettre un commentaire et tenter de gagner une boite de thé Palais des Thés à la lavande.
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Je vous ai déjà parlé sur le blog d’une façon bien agréable de gagner de l’argent en le dépensant. Cette fois, je vais partager une autre astuce qui me permet d’arrondir mes fins de mois difficile ou de pouvoir me faire un plaisir shopping supplémentaire. Comme 99% des filles, j’ai dans mes armoires des vêtements jamais mis, des produits de beauté jamais ouverts, des livres que je ne lirai plus et divers objets qui prennent la poussière dans un coin. Je me dis toujours que ces objets peuvent servir à d’autres et que c’est une bonne façon de faire du ménage. Je suis moi-même adepte des achats d’occasion, ce qui évite de dépenser de l’argent inutilement et permet de donner une seconde vie à une robe ou un bijou non portés.
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