Des mois que je reluquais ce superbe appareil photo complètement génial mais qui vaut son pesant de cacahuète. Je tourne et retourne sur les boutiques en ligne, je guette les promotions, etc… Et un jour, je prends ma décision, ça suffit, il me le faut. Mon sens du consommateur responsable me crie d’acheter sur un eshop français si possible. Je fais mon choix pour une commande sur le site de la Fnac, grande enseigne française renommée. En plus, il y a une promo avec l’adhésion à la carte Fnac qui met l’appareil en même prix que sur Amazon (oui parce sinon c’est plus cher) et on peut payer en 3 fois sans frais. Go !

Je pense que ce jour-là, j’aurais mieux fait de me casser une jambe, de griller ma box Internet ou de planter mon ordi. Depuis ce jour maudit où j’ai cliqué sur  « acheter », la Fnac a fait de ma vie un enfer. Un enfer de mensonges, d’appels inutiles au SAV et de recommandés. La belle arnaque !

1^ère erreur de la FNAC :

Le site me renvoie vers une page 404 lorsque je veux acheter le paiement en plusieurs fois. J’essaye pendant 2 jours mais le temps presse car je pars en vacances une semaine plus tard (ce détail a son importance). Je téléphone donc au Service Client Fnac pour passer ma commande et le conseiller a bien du mal à comprendre et à me faire la même offre qu’en ligne (à savoir la carte Fnac, le crédit et l’offre de réduction). Détectant déjà un potentiel problème, je répète TROIS FOIS que je souhaite le modèle gris… Et je choisis la livraison en magasin (à 25mn de chez moi) car à la Fnac, on facture 15 euros la livraison en Colissimo, même quand on lâche 700 euros.

Je vous le donne en mille. Quand je vais chercher mon colis à la Fnac de Bordeaux Centre, c’est le modèle noir qui est dans la boite. Boite que je déballe chez moi, sinon ce n’est pas drôle. Appel au SAV qui me demande de retourner l’appareil par voie postale ou en magasin, et d’attendre qu’ils le réceptionnent pour me renvoyer le bon modèle.

Je pars en vacances dans 10 jours, donc impossible de récupérer l’appareil dans le bon modèle avant mon départ (et adieu les jolies photos). Je capitule et garde le modèle noir – qui est joli et qui donne l’impression d’avoir un appareil vintage entre les mains – mais je me sens un peu arnaquée sur le process.

Qui me dit qu’il ne s’agit pas d’une vente forcée parce que l’enseigne veut refourguer les modèles en noir ? Personne.

2^ème erreur de la FNAC :

Je pars en vacances dans une région où il fait encore super beau en Octobre : les Antilles ! Autant vous dire qu’à la vue des étendues d’eau salées magnifiques, je me régale d’avance de prendre des clichés. J’ai à peine déballé mon XT-10, juste le temps de l’allumer pour voir s’il fonctionne et de recharger la batterie. Une semaine après mon arrivée, je dégaine. Au bout de quelques clichés, je note une petite tache noire dans le viseur mais mon ancien Reflex a parfois le même défaut sans que ça ne transparaisse sur les photos. Je me détends et profite du paysage. Paysage que j’affiche en grand sur mon ordinateur le soir venu. Et là, le drame : il y a une tâche sur toutes mes photos ! Le point noir n’est donc pas un défaut du viseur mais une belle tâche sur la lentille (j’ai essayé de nettoyer l’objectif, mais rien à faire, c’est bien la lentille et je suis impuissante).

Dès le lendemain, je dégaine le téléphone et le supplément tarifaire des DOM-TOM vers la France pour appeler le SAV de la Fnac. « Pa Ni Pwoblem, je vous fais un bon de retour. » « Oui mais je rentre de vacances dans 2 semaines, je ne peux pas vous renvoyer l’appareil dans sa boite d’origine maintenant. Est-ce que le bon retour sera encore valable ? Est-ce que mon appareil sera échangé ? » « Oui oui c’est OK pour nous ».

Ouf, je continue à faire quelques clichés malgré tout, que je retoucherai en revenant à la maison.

3^ème erreur de la FNAC :

De retour à la maison, je prépare le retour de l’appareil photo incluant les papiers spéciaux, l’emballage bien protégé, etc… Arrivée à la Poste, je demande à la personne au guichet de confirmer que le bon de retour est bien OK. « Ha non, il n’est plus valable. Heureusement que vous me l’avez demandé car le colis aurait pu être perdu. » Vous pouvez coller à la suite de cette phrase les émoticônes peur bleue, colère tout rouge, pleure toutes les larmes de son corps, se roule par terre et va étriper la Fnac avec une hache.

Je rappelle le SAV de la Fnac qui m’agace prodigieusement car il me demande pour la énième fois le n° de référence de l’appareil et je dois déballer l’entièreté du colis savamment préparé. Et là, le coup de massue : mon appareil ne sera pas échangé, mais partira en réparation car le délai d’échange est dépassé. Je perds mon sang-froid et m’énerve une bonne fois pour toutes en criant à l’arnaque. De quel droit un appareil photo acheté NEUF, livré dans le mauvais modèle et en mauvais état ne doit pas être échangé par le magasin !!!???

Je demande à ce qu’on me passe un responsable. J’ai donc droit à une charmante jeune femme à qui je narre les exploits de son entreprise et qui semble prendre les choses en mains. L’appareil doit tout de même partir en réparation (WTF !!!) mais elle me promet que ce sera pris en charge par la garantie. Elle m’annonce tout de même 4 à 8 semaines de délai car il sera renvoyé au constructeur. Je vois rouge mais je garde mon calme en me disant que c’est soit ça, soit un appareil photo inutilisable.

Elle me propose également de négocier un avoir entre 20 et 40 € (LOL) crédités sur mon compte Fnac. Autant vous dire que j’attends toujours d’en voir la couleur.

Ou comment faire avaler des couleuvres au client pour qu’il lâche l’affaire.

4^ème erreur de la FNAC :

5 semaines après le renvoi de mon appareil, je reçois un devis de la Fnac d’un montant de 149€ concernant la réparation, ou devrais-je dire le nettoyage de la lentille de mon XT-10. Nettoyage non pris en charge par la garantie d’un an qui est encore en cours (forcément).

Je décide que c’est le coup de grâce. J’essaye de les contacter – en vain – sur les réseaux sociaux puisque par téléphone, on se fout clairement de moi. On ne m’a JAMAIS répondu une seule fois, ni sur Twitter, ni sur Facebook, l’enseigne préférant sûrement n’avoir aucune preuve écrite de leur belle arnaque.

Je mets donc le dossier entre les mains de mon assurance juridique qui leur enverra plusieurs recommandés dont la réponse sera, en résumé, « on s’en carre, c’est à vous de payer ». A force d’attente, la Fnac me renvoie l’appareil photo en l’état. J’enquête de mon côté pour pouvoir réparer mon XT-10 à moindre coût. Le CM de chez Fuji ne peut rien faire car ça ferait sauter la garantie Fnac (méga LOL) (la garantie… quelle garantie ?) mais me conseille d’aller faire un devis dans un magasin photo. Bingo ! Je m’en sors pour la modique somme de 49€ et mon appareil est désormais presque comme neuf, 5 mois après la date d’achat et une cinquantaine de clichés avec une tâche.

Conclusion de l’arnaque Fnac :

A trop vouloir bien faire, on se fait entuber. Suite à cette rocambolesque histoire, j’ai décidé qu’à partir d’un certain prix, mes achats se feront au plus pratique et au moins cher. Amazon est certes le diable (financement de Monsanto et concurrence aux petits commerces) mais l’enseigne aurait repris mon XT-10 sans sourciller et me l’aurait remboursé intégralement (déjà vécu sur d’autres achats).

A vouloir tester la qualité française, je me suis heurté au mépris, au je-m’en-foutisme et au mensonge d’un SAV loin d’être à la hauteur et qui cherche seulement à enterrer les réclamations de sa clientèle pour que son nom continue à briller.

Le dossier est toujours ouvert car je compte bien demander le remboursement des 49€ ainsi qu’une extension de garantie, et pourquoi pas un dédommagement pour tout ce temps gâché dans une procédure largement évitable. Mais non, la Fnac préféré refourguer ses invendus et autres matériels abîmés en toute impunité.

NB : l’autre truc marrant, c’est que je n’ai jamais reçu la carte Fnac, que je souhaitais résilier avant qu’elle devienne payante. Sans numéro, point de résiliation et j’ai dû faire opposition partout pour être sûre de n’être prélevée nulle part de la cotisation. Et encore une fois, le SAV de la Fnac n’a jamais su me répondre.

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Au fil des années, et un peu grâce au blogging, mon rapport à la photographie a beaucoup évolué et s’est affiné. L’image a pris une importance très large – parfois trop large – dans ma vie. Mon œil s’est affiné, mes compétences aussi même si je me sens souvent bloquée sur l’aspect technique et que je rêve d’un atelier sur-mesure pour m’apprendre à me servir des diverses options de mon matos photo et connaitre les secrets des logiciels de retouche. C’est même souvent ce qui me bloque pour écrire des articles, la qualité des images ayant désormais la part belle chez les blogueurs. J’ai même récupéré l’appareil de mon père, qui est donc ultra vintage, car j’adore la qualité des photos de mes albums d’enfance. Le côté argentique me fascine.

J’admire le travail des « vrais » photographes, surtout ceux qui voyagent et qui arrivent à retranscrire les émotions et les paysages magnifiques qu’ils ont sous les yeux. Je me sens chanceuse d’avoir pu bosser sur mes compétences et réussir à capturer l’essence d’un voyage : quand je parcoure mes albums de l’Australie d’il y a 6 ans, je vous assure que c’était pas gagné d’avance. Instagram m’a notamment permis de travailler sur ce qui fait la bonne composition d’une photo. J’ai même suivi le challenge Cachemire et Soie pour en apprendre un peu plus sur les photos prises avec un smartphone. Car oui, aujourd’hui, le bon photographe veut du matériel de qualité qui se glisse dans un sac à dos et ne pèse pas un âne mort. C’est d’ailleurs pour ça que j’ai choisi de changer il y a peu d’appareil photo car mon reflex restait trop souvent à la maison, faute de courage pour caser l’énorme machine dans mon sac (et de le porter à l’épaule).

Si je vous parle aujourd’hui de photo, c’est pour vous présenter la marque sur laquelle j’ai jeté mon dévolu et qui vient de sortir un nouveau modèle très pro et très pratique : le X-Pro 2 de chez Fujifilm. Pour se rendre compte du potentiel de la bête, le photographe Eric Bouvet a participé à une opération dénommée « Regard Doubles » en Laponie et en a rapporté des clichés assez magiques. Cette aventure défend une cause qui me tient à cœur – la protection de l’environnement – et part à la rencontre d’une tribu indigène, les « Saamis », qui sont directement menacés par le réchauffement climatiques. Si vous voulez plus d’infos sur le sujet, je vous conseille de vous rendre sur le site Fujifilm Expérience. Et si l’utilisation du X-Pro 2 vous intéresse, la vidéo ci-dessous est plutôt très explicite par rapport l’expérience d’Eric Bouvet.

J’aime aussi son retour sur le fait qu’un appareil plus discret permet de créer un lien avec les autochtones, autant pour les clichés que pour pouvoir caler l’appareil sous son bras en 2 secondes et initier une conversation.

Rien ne vaut le cliché « par hasard » quand on traîne ses guêtres autour du globe.

Pour l’occasion de la sortie de ce nouvel appareil, l’équipe de Fujifilm m’a posé quelques questions pour mieux cerner mon rapport à la photographie.

– Coucou Fanny ! Alors raconte-nous un peu ton blog, il raconte quoi ?
Il raconte plein de choses : mes découvertes, mes dernières sorties, mes voyages et un peu de ma vie sur des textes plus personnels. Dernièrement, j’écris plutôt des articles sur la ville où je vis – Bordeaux – qui bouge beaucoup en termes d’activité, restos, balades, etc…
Comme je le décris, c’est un melting-pot de tous les sujets sur lesquels j’ai envie d’écrire. Dans le monde du web, ça s’appelle « lifestyle » mais j’aime de moins en moins ce terme.

– Mais du coup c’est quoi ton rapport à la photo, tu en fais depuis longtemps ?
Ça fait quelques années que je m’intéresse à la photo. Après mon année en Australie, j���ai voulu creuser le sujet pour pouvoir ramener de jolies photos de voyage (mes photos de l’époque sont assez calamiteuses). Ça fait donc à peu près 6 ans que j’ai commencé à acheter des appareils photos plus qualitatifs (un Bridge et ensuite un Reflex), à demander des conseils pour les prises de vue et à mettre les mains dans les logiciels de retouches.
Je veux aussi pouvoir immortaliser des moments avec mes proches mais j’ai un peu plus de mal à maîtriser le côté technique (pour les portraits notamment). C’est ce qui me fait le plus défaut car je manque de patience pour assimiler toutes les possibilités de mon appareil.

– Tu peux nous en dire plus sur ton appareil ? Tu utilises quoi exactement, et comment tu en es arrivée à choisir ce modèle ?
J’ai récemment acheté le modèle XT-10 de chez Fujifilm pour la simple et bonne raison que je trouve mon Reflex trop lourd et qu’il reste souvent à la maison. J’ai donc fait des recherches pour trouver un appareil qualitatif qui soit moins encombrant et qui se glisse dans mon sac. J’avais repéré ce modèle chez une blogueuse dont j’aime les clichés (Juliette de Je ne sais pas choisir) et j’ai demandé conseil à 2 potes photographes dont un qui utilise régulièrement ce modèle et me l’a vivement conseillé.
Je ne le regrette pas, il est léger, il fait des photos de super qualité même en mode automatique et en plus, il a un look un peu vintage qui me plait beaucoup.
J’apprends encore à découvrir tout son potentiel car le fonctionnement est un peu différent de mon ancien Reflex mais je l’adore.
Ha oui, et on peut transférer les photos qu’on vient de faire directement sur son téléphone et ça, c’est génial pour la fan d’Instagram que je suis.

– Fujifilm est en train de lancer le X-PRO 2, est-ce que depuis que tu es chez Fujifilm, tu t’intéresses un peu plus à la technique ? Est-ce qu’un modèle un peu plus pro t’intéresserait ?
Oui, je me suis toujours intéressée à la partie plus technique depuis que je me suis mise à la photo car c’est justement ce qui fait la différence entre un cliché lambda et une belle photo (selon moi). Je suis fan des modèles pro même si pour l’instant, je ne maîtrise pas assez pour avoir besoin d’un matos de professionnel mais à l’avenir, pourquoi pas. Si on reste dans du matériel léger et pratique, je suis totalement pour car la photographe en devenir que je suis se laisse décourager quand l’appareil est trop encombrant (je fais surtout des photos à l’extérieur et en voyage, plus c’est léger, plus c’est pratique).
J’y pense également pour le blog, car nous sommes dans une ère où les visuels que l’on propose sont aussi importants que le contenu.

– C’est quoi ton prochain voyage ? Tu nous ramèneras de belles photos ?
La boucle sera bouclée puisque je retourne en Australie en mai. J’y vais surtout pour rejoindre des amis mais je pense que j’aurais l’occasion d’immortaliser quelques paysages de dingue. Comptez sur moi pour vous faire baver de jalousie.

Et vous, quel est votre rapport à la photographie ? Plutôt smartphone, compact ou reflex ?

Les photos de cet article ont été prises avec mon appareil Fujifilm XT-10.
Merci à Fujifilm pour leur confiance.

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Ce week-end, durant un jeu de société pour apprendre à mieux se connaître, on m’a demandé « de quel objet ne pourriez-vous plus vous passer ? ». J’avais la réponse en 3 millièmes de secondes : mon téléphone ! J’ai mon smartphone greffé 90% à ma main. Je l’utilise comme agenda, pour consulter mes mails, pour aller 42 fois par jour sur Facebook, Instagram, Twitter. Je joue compulsivement à Happy Street depuis des années lumières, je vide mon dressing sur Ebay et Vinted et je me détends avec mes applications de méditation (Petit Bambou et HeadSpace pour info). On me reproche régulièrement d’y être trop collé mais c’est un automatisme dont j’ai du mal à me défaire, même une fois dans mon lit (totalement déconseillé pour les gens qui ont du mal à s’endormir) (comme moi).

Je ne suis pas une fan de la marque Apple, trop fermée à mon goût, mais j’ai quand même cassé ma tirelire pour me procurer l’iPhone 5S peu après sa sortie car depuis que j’ai goûté à ce smartphone, j’hésite à revenir vers un autre modèle. Accro aux jolis clichés photographiques, je me dis que la gamme Galaxy de chez Samsung avec leur grand écran HD et le capteur de 16 millions de pixels serait un bonheur pour ma créativité. Mais les habitudes ont la dent dure et je suis tellement habituée à l’interface de la pomme que je crains d’être perdue et de ne pas pouvoir retrouver mes applications préférées.

Mon 5S commence à montrer quelques signes de faiblesse et je sais que l’envie de changer va bientôt s’insinuer dans mon esprit. Mais quel modèle choisir parmi tous ceux dont on nous vante les mérites ? Ou alors, je déconnecte une fois pour toutes et je me la joue vintage en revenant au bon vieux Nokia 3310 et à son jeu du serpent…sur lequel je passais tout mon temps. Finalement, je ne sais pas si c’est une meilleure option.

Et vous, êtes-vous accro du téléphone portable ? Quel est votre secret pour vous en passer ?

Crédit photo : Milk Magazine

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L’an dernier, j’avais craqué pour le modèle Licorne qui a enflammé la toile et Instagram. Avoir cet animal fantastique au pied et pouvoir le faire cavaler de la cuisine au canapé toute corne dorée au vent, c’était du pain béni pour mes journées cocooning. Malheureusement, la licorne a été reléguée au placard, faute à mes petons qui nageait gravement dedans, aux risques et périls de mon équilibre déjà précaire.

Mais que faire pour réchauffer mes petits pieds une fois rentrée à la maison tout en gardant le style kawaï quoi qu’il arrive ? Ni une, ni deux, je me suis mise en quête du graal et j’ai trouvé THE paire de chaussons parfaites.

Ceci est un narval, aussi prénommé « licorne des mers ». Parfait pour remplacer ma licorne de terre au pied levé. Ce modèle bien qu’un peu large, ne peut pas se faire la malle quand je marche puisqu’à la différence de sa consœur, la nageoire de mon joli narval fait office de bord qui me maintient bien les petons. Et la semelle est antidérapante pour éviter tout accident domestique. Mais voulez-vous connaître le secret de ces pantoufles ? Elles sont chauffantes !!!

Une prise USB vous permettra de vous réchauffer les pieds pendant que vous serez en train de lire vos blogs préférés confortablement installés dans votre canapé. Le confort et la mignonnerie poussés à leur maximum ! Et un parfait cadeau de Noël ou d’anniversaire pour tous les frileux de votre entourage.

 Et vous, quel est votre accessoire confort favori ?

Pantoufles chauffantes narval – USB, 39,95 euros chez Cadeaux Folies.

Un grand merci à Cadeaux Folies pour ce douillet présent.

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On commence avec les beaux/gros cadeaux high-tech que je verrais bien autour du sapin.

1. Une liseuse

Je n’ai pas encore succombé à la liseuse électronique bien que je trouverai ça bien plus pratique à transporter dans le train ou l’avion, moi qui lit souvent des pavés au format « pas poche ». J’ai du mal à me passer du papier ; j’ai du mal aussi à payer pour un livre virtuel. A quand le format électronique et papier pour le même prix ?
Liseuse Kindle Paperwhite, 99 euros sur Amazon

 2. Un lecteur CD de salon

Celui-ci trône déjà dans mon salon et c’est une vraie tuerie. Un son plus que correct et une plateforme multifonction permettant d’écouter la radio, un CD (oui ça existe encore) ou des MP3 en plugant une clé USB. Son design fait qu’il reste harmonieux dans la déco (très important pour moi) et il ne prend vraiment pas de place.
Micro-chaîne Sony, 125,90 euros sur Fnac.com

 3. Un aspirateur-robot

Alors lui, c’est le ST-Graal que j’attends avec impatience sous mon sapin. Un beau cadeau qui nécessite la participation de plusieurs personnes mais qui va me soulager de la corvée quotidienne d’aspirateur, la faute à mon carrelage blanc.
iRobot Roomba 630, 289,99 euros

 4.  Un appareil photo hybride

Accro à mon Reflex Canon depuis son acquisition, je rêve de la même puissance dans un appareil plus compact, à glisser directement dans mon sac à main. Je n’ai entendu que du bien de l’Olympus Pen et bien que son prix soit un peu élevé, je le rêve pour pouvoir shooter dans devoir porter tout mon attirail, et sa fonction partage par wifi me permettrait d’alimenter mon compte Instagram avec de jolis clichés.
Olympus Pen E-PL7, 599,90 euros

Et vous, quel appareil high-tech vous verriez bien aux pieds du sapin ?

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Le but de cette déconnexion était de me passer des réseaux sociaux que je consulte beaucoup trop, par habitude et surtout par ennui. Je les trouvais « bouffeur de temps » et je suis intimement persuadée qu’ils me freinent dans mes projets et accentuent mon syndrome de comparaison, ainsi que ma procrastination (2 maux qui vont généralement ensemble), surtout dans mon utilisation multi-quotidienne.

Le bilan, c’est que je ne suis jamais arrivée à me déconnecter complètement, notamment de Facebook, qui me sert à communiquer avec la plupart de mes amis. La frustration est grande, malgré le fait que j’ai été beaucoup moins présente que d’habitude, je n’ai pas pu m’empêcher d’aller lire les statuts de mes amis et d’envoyer quelques messages, plusieurs fois par jour. J’ai par contre posté uniquement 3 photos sur Instagram et quasi délaissé Twitter. Google + et le blog sont les grands gagnants de ce challenge, même si j’ai été lire régulièrement ma boite mail de blog alors que j’avais dit que je ne le ferais pas…

Mon verdict, c’est que je suis trop passionnée pour qu’une détox soit réellement applicable. C’est en soi une bonne chose d’être passionnée, si on arrive à se raisonner. A moi de mettre en place un plan d’attaque pour que cette expérience de déconnexion porte ses fruits, ce qui m’a donné l’idée de faire une liste, à afficher à côté de l’ordinateur.

Mes 5 règles de la détox numérique :

– Désinstaller certaines applications de mon smartphone (voire l’éteindre carrément) :
J’ai supprimé Facebook et Twitter, ce qui a divisé le temps collé à mon écran de téléphone par 2. J’ai viré tous les jeux sauf 2 qui me prennent déjà pas mal de minutes chaque matin, midi et soir. Pour s’aider, il y a l’application Forest qui motive à rester loin de son smartphone.

– Se chronométrer / S’organiser :
Pour chaque activité, mettre une alarme pour se donner une fin. Passer 30 mn à lire ses blogs préférés, ne pas rester plus de 2 heures non-stop à s’occuper de son blog, consulter ses mails à des moments bien définis dans la journée pour éviter de rafraîchir la page toutes les 15 minutes : autant de façon de ne pas se laisser entraîner dans la spirale du web, qui incite facilement à aller de clics en clics et gaspiller un temps précieux sans but précis.
Le plus difficile ? Ne pas aller checker son Facebook de façon automatique.

– Faire une liste de choses à faire offline (et s’y tenir) :
Trier les photos de ses dernières vacances, avancer dans le visionnage de sa série préférée, ouvrir enfin ce bouquin en attente de lecture depuis des mois. Autant de choses qui permettent de s’éloigner un moment d’Internet. On peut même écrire des articles pour plus tard en étant déconnectée Et si l’activité nécessite un ordinateur, coupez la connexion internet. Pas de bras, pas de chocolat !

– S’octroyer une journée de totale de déconnexion chaque mois :
Et pour que ce soit plus facile, on planifie une journée entre copine, une sortie en ville, une terrasse avec un magazine. Et on laisse son téléphone éteint.

– Faire le ménage :
Masquer les publication Facebook qui ne présentent que peu d’intérêt, unfollower les comptes Twitter qu’on ne lit jamais vraiment, diminuer sa liste de blogs à lire pour ne conserver que les quelques uns qu’on aime vraiment, autant de choses qui vont permettre de faire le ménage dans notre vie numérique, de reposer notre cerveau et de passer du temps à autre chose.

Ces conseils ne sont pas faciles à suivre, la preuve, j’ai parfois échoué. Mais ça fait partie du processus et essayer est déjà une petite victoire en soi. Je n’ai pas réussi à écrire pour le blog, mais j’ai écrit pour moi-même. Je n’ai pas tellement progressé au yoga mais j’ai réussi à m’octroyer quelques séances de méditation. Je ne sais toujours pas me coucher tôt et me réveiller fraîche et dispose mais j’ai bouquiné et je me suis reposée.

Je suis prête à affronter de nouveau la vie d’une indécrottable connectée, mais avec un peu plus de recul sur ma « consommation » et les pieds plus ancrés sur la terre ferme.

Crédit photo : Pinterest et Détox Digitale

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J’en avais déjà parlé sur le blog, de cette manie de la nouvelle génération à être connectée 24/24 et de passer son temps libre sur des écrans… Depuis quelques semaines, je ressens une vraie lassitude, un désintérêt pour le online, les blogs, les réseaux sociaux. J’ai diagnostiqué une totale addiction à mon iPhone que je triture sans cesse, moins par besoin que par ennui. Je me sens avalée par la somme d’informations qu’on me jette à la figure et qui cultive en moi cette impression d’être moyenne en tout et bonne à rien (le complexe de la blogueuse dont parlais si justement Jack Parker). Je suis tellement obsédée par l’idée de rédiger des nouveaux articles qui rencontreront du succès auprès de mon lectorat, de faire de magnifiques photos, de devancer les idées originales de mes consœurs, que ça en devient obsédant, et au final, je ne fais rien, je tourne en rond comme un poisson rouge dans son bocal, je ne me donne pas ni le temps d’y arriver, ni d’objectifs sincèrement atteignables.

Ça me noie tellement que je mets de côté mes projets pro et perso, comme tout se chamboule dans ma tête, je ne sais pas par quoi commencer, ni par où, c’est trop flou. Le soir je suis insomniaque tant d’idées traverse mon esprit, la journée je suis amorphe et il me manque l’énergie pour réaliser toutes ces choses possibles. Je me disperse, je me fatigue, je n’avance pas.

A l’image de ma copine Faustine, la web addict que je suis a décidé de partir en désintox. Elle est partie une semaine. Moi je me donne un mois. Un mois où je désinstallerai consciencieusement les applications de mon iPhone, où je consulterai mes mails le moins possible (pas du tout serait vraiment utopique de ma part), où je prendrais le temps d’enfin trier les photos du Canada et de regarder cette liste de films que je voudrais tant voir. Un mois pour reprendre du poil de la bête, y voir plus clair et me définir de vrais objectifs de vie ATTEIGNABLES. Un mois pour voir si je m’amuse encore ici ou si je laisse tomber.

Vous allez me manquer, j’espère que vous serez toujours là quand je reviendrai.

PS : j’ai écrit cet article il y a 15 jours, j’ai déjà commencé à m’éloigner un peu de la toile (vous l’avez sans doute remarqué par mon absence d’écriture ici même). Je ne peux pas faire une déconnexion à 100%, à cause de mon travail. Je me mets un point d’honneur à écrire pendant ce laps de temps, ne serait-ce que sur mon expérience de déconnexion, sans pression ni objectifs. Juste le temps de laisser mon cerveau se reposer et se réorganiser. Et de méditer là-dessus…

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Hello la compagnie, cette semaine, la série historique Les Simpsons a fêté ses 25 ans. 25 ans, et j’ai l’impression que c’était hier que je m’affalais chaque samedi soir sur le canapé familial en boulottant mes Rice Krispies 5 minutes avant que l’épisode hebdomadaire ne commence (il ne fallait SURTOUT PAS rater le générique). Cette série (car oui pour moi c’est une vraie série et pas un simple dessin-animé) est le symbole de mon adolescence dans les années 90, avec cette attente déjà fébrile pour visionner le prochain épisode pour pouvoir frimer dans la cour de récré, bien avant l’époque de Utorrent et Game of Thrones.

Comme j’ai un peu le syndrome de Peter Pan j’aimerais bien mettre la main sur le parfait coussin en forme de donuts, ou encore mieux, aller faire un tour au parc d’attraction entièrement consacré au monde des Simpsons situé en Floride pour partager une binouze chez Moe’s et retrouver mon âme d’enfant.

En attendant, j’ai trouvé une solution un peu moins coûteuse (pour ne pas dire gratuite) de satisfaire ma fan attitude et de créer mon Sprinfield à moi. J’ai dégainé mon iPhone et j’ai téléchargé un petit jeu très sympa nommé Sprinfield (The Simpsons Tapped Out in english). Le but est de reconstruire Sprinfield parce qu’Homer était trop occupé à jouer sur sa tablette pour empêcher la centrale de péter. A toi de bâtir la ville à ta sauce et de faire revenir les personnages emblématiques de la série à partir de missions en tout genre, avec même un petit clin d’œil à autre jeu sur mobile très célèbre.

C’est addictif et ça passe le temps si tu dois changer 3 fois de métro pour aller gagner ta croûte chaque matin. C’est parfois un peu long (qui a eu l’idée de mettre des actions qui dure 24h, je vous le demande ?!?) mais c’est tellement régressif qu’on en redemande, dixit les 32 fois par jour où je vérifie si tout va bien dans ma mini-Sprinfield.

Bref, si tu veux toi aussi oublier l’existence de femme et enfants et jouer avec ton écran tactile, c’est par ici.

Je vous laisse, j’ai pas encore retrouvé ce petit *$%^_#@ de Bart !

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Je suis une « petite » blogueuse, je ne suis pas suivie par des dizaines de milliers de lecteurs, j’ai ma communauté de proximité qui est super fidèle (et ça vaut de l’or !!!), j’écris quand je veux/peux, je ne me soumets à aucune pression. Ce blog m’a apporté énormément : j’ai pu rencontrer plein de gens intéressants, participer à de nombreux projets/visites/événements et oui, j’ai parfois gagné des cadeaux ou quelques euros.

Je ne crache pas dans la soupe, j’aime améliorer mon quotidien (comme tout le monde) avec des petits avantages non négligeables. Seulement au fil du temps, la petite blogueuse a appris les règles du jeu, parce qu’elle a des amis Community Managers, parce qu’elle a su poser les bonnes questions et qu’elle a rencontré des bons et des mauvais partenaires.

Je vais donc édicter ici quelques erreurs à ne pas commettre lorsque vous contactez un(e) blogueur(se), quelque soit son audience et peu importe sa thématique.

– Ne pas lire le blog auquel on écrit

Ne serait-ce que la page A propos qui, en général, regroupe le prénom et la thématique du blog. Si vous ne voulez pas perdre de temps à personnaliser chaque mail, envoyez un communiqué de presse lambda. Un partenariat quel qu’il soit nécessite une approche humaine.

– Ne pas nous vendre une opportunité à tout prix

Non, afficher de la publicité gratuite, avoir un lien sur un site avec 50 visiteurs ou être une « égérie » juste pour la gloire n’est pas une superbe opportunité. Ou alors expliquez-nous réellement la démarche !
Cas de figure rencontré avec la marque Thierry Mugler qui souhaitait que je participe à des publications photos sur les réseaux sociaux. J’ai demandé quel était le projet et pourquoi on me demandait de participer. Je n’ai jamais eu de réponse. Par contre, j’ai reçu un mail quelques semaines plus tard pour me demander si ça m’avait plu -_-

– Tout travail mérite salaire

Nous demander d’établir un listing de blogueurs, d’écrire un article, de prendre des photos, de faire un travail de recherche, quel qu’il soit : c’est du travail ! Parfois, rien qu’un échange mail peut durer des jours pour mettre en place un partenariat. Pensez donc à proposer une somme correcte pour tout type de partenariat. Pour établir une grille, vérifier la visibilité et le trafic du blog avec les outils en votre possession et demander une échelle de paiement à une agence spécialisée si vous n’êtes pas sûr.
Car non, 50 euros pour un article de 800 mots avec 10 photos,  ce n’est pas cher payé !

– Arrêtez de vouloir faire du sponsoring déguisé

1. C’est illégal
2. C’est NOUS qui risquons l’amende
3. On prend le risque de ne jamais être payé

C’est ce qui s’est passé avec l’agence dénommée Maarketing.info il y a 2 semaines. Après une trentaine de mails échangés juste pour une insertion de liens (article sponsorisé déguisé pour les sites www.movedancewear.com/fr/ et http://www.lampcommerce.com/fr, pinaillage sur le tarif, puis l’article choisi trop ancien, puis pas dans le thème, puis on change encore), je me trouve avec un joli silence radio quand je demande la rémunération de mon « service ». Pas de recours pour moi, j’ai passé du temps à finaliser ce partenariat pour ne rien recevoir, pire pour avoir subi de gros mensonges. En attendant, le lien a été inséré pendant quelques jours et Google s’est fait un plaisir de l’indexer… *

– Ne nous prenez pas (toutes) pour des divas

Parfois on me propose des partenariats rémunérés. Parfois certaines marques m’envoient des goodies. Des petits entrepreneurs ne peuvent pas se permettre un gros budget blog et misent sur la sympathie et l’envie des gens pour relayer leurs infos. Je participe régulièrement à des opérations qui ne m’apporteront ni gloire ni fortune tout simplement parce que je suis séduite par le projet/l’idée/le produit. Donc n’hésitez pas à garder un ton humain, soignez votre présentation, rendez ce que vous vendez funky, même si ce sont des amortisseurs de voiture. Gardez à l’esprit que l’on reçoit pas mal de demandes et que les blogs sont désormais bourrés de pubs. Sachez faire la différence !

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J’ai conscience que c’est parfois difficile d’interpeller les blogueurs qui sont devenus une source de visibilité non négligeable (ou alors c’est que vous n’avez pas encore tout compris). Laissez un stagiaire ou une personne inexpérimentée faire le job seul dans son coin n’est vraiment pas stratégie. Je suis loin d’être un cador en la matière mais Mesdames les Marques, essayez au moins de ne plus prendre les blogueurs pour des jambons !

* J’ai choisi de citer les protagonistes de l’histoire en toute connaissance de cause, les ayant déjà « menacés » plusieurs fois de faire une insertion de lien mais pas dans le sens où ils l’entendaient. Après le mensonge, le mépris du silence… tant pis pour eux.

Crédit photo : Some Cards et Saumyadave

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Voici donc ma méthode pour ne pas perdre une miette de vos données (méthode évitant iTunes autant que possible vu que je déteste ce logiciel auquel je ne comprends rien).

– Créez-vous un compte iCloud

Et faites des sauvegardes régulières. La légende dit que dès qu’il y a une connexion wifi sur votre téléphone, une sauvegarde est faire. Ce n’est pas systématique. Mon iPhone est mort le 11 avril. La dernière màj datait du 5 avril. Il y a le wifi chez moi, configuré sur mon iPhone. Et je suis souvent chez moi. J’ai donc perdu environ 6 jours de données mais j’ai pu récupérer mes photos.

– Installez l’appli Dropbox

Grâce à Dropbox, je peux sauvegarder toutes mes photos, et ensuite les trier/supprimer de mon téléphone. C’est très pratique, d’autant plus que je peux consulter les photos sur ma tablette, mon PC et sur tous supports connectés à Internet. Il suffit de se créer un compte Dropbox et ensuite, vous pouvez charger autant de données voulues, dans la limite de 2 Go pour l’accès gratuit. Le chargement doit être lancé régulièrement mais s’effectue ensuite en « arrière-plan » (ça signifie que vous pouvez faire autre chose pendant ce temps) (genre jouer à Happy Street).

Grâce à ces 2 outils, j’ai récupéré quais la totalité de mes données (à part quelques SMS) que j’ai pu transférer à chaque fois, sur chaque nouveau téléphone.

Et on oublie pas d’habiller son téléphone avec de jolis fonds d’écrans !

La morale de cette histoire : sachez que l’iPhone 5S ne sait pas nager, même pas un tout petit peu…

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