J’ai choisi un thème bien particulier où j’ai entraîné mon œil et mes maigres compétences de photographe pour ramener des images bien à moi, qui me ferait rêver à mon retour. Et j’en ai fait un livre photo, qui raconte ces 2 jours passés à toute vitesse dans cette ville immense qu’est New York.

J’ai d’abord été surprise du rendu de mes photos : j’ai toujours l’impression sur l’écran qu’elle ne sont pas assez nettes. Mais une fois imprimées sur les pages de mon livre, elles m’ont ramené directement près de Central Park, à guetter les scènes de vie quotidienne new-yorkaise à immortaliser avant de rentrer.

J’ai ensuite pensé qu’il fallait absolument que ça devienne une bonne habitude d’imprimer des livres photos, des albums de vie, à thème, ou pas d’ailleurs. A garder ou à offrir aux grands-parents pour qu’ils apprécient de voir grandir leur famille, un peu sans eux parfois. Pour se rappeler en regardant une mappemonde qu’on a été là, et là et puis là aussi. Qu’on se questionne sur ce qu’est devenue Vanessa notre ancienne voisine qui avait animé la crémaillère comme personne.

Pour avoir en tête que la vie, c’est majoritairement des petits moments à photographier.

Article réalisé en partenariat avec CEWE. Retrouvez mon interview sur leur blog.

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Quand on parle de voyage, on a toujours beaucoup plus d’idées que de moyens.  J’aime partir, loin ou pas, mais . Me retrouver hors de ma zone de confort m’aide à affûter mon esprit, à libérer les tensions du quotidien, à me frotter à d’autres questions existentielles que « qu’est-ce qu’on mange ce soir ». Partir est pour moi aussi bénéfique que de faire du sport régulièrement ou de manger sain. C’est cultiver et développer son esprit. C’est d’ailleurs pour ça que je n’aime pas tellement les vacances « all inclusive », à part en cas de grosse fatigue (et pas trop longtemps).

Lorsqu’on aime comme moi les voyages plus aventuriers, une question se pose souvent : comment faire un beau voyage sans vider son PEL ? Voici donc mes astuces voyage pour petit budget pour profiter pleinement de ses prochaines vacances sans devoir se priver au quotidien.

Loger chez l’habitant 

Exit les hôtels, je suis désormais partisane des locations chez l’habitant, voir même de couchsurfing. Ce n’est pas nécessairement synonyme de squat : ces logements n’ont parfois rien à envier à certains hôtels et leurs propriétaires sont généralement non avares d’astuces pour nous aider à découvrir le coin. L’accueil des hôtes est en général plus qu’agréable, qu’ils soient présents ou pas pendant le séjour et le confort de pouvoir se faire un thé ou regarder la télé après une longue journée de balade, c’est royal !

Se faire des sandwichs

En voyage, le plus compliqué c’est de pouvoir se restaurer sans exploser le budget. Cet aspect diffère selon le pays où l’on se trouve, le taux de change ou le coût de la vie. Quoi qu’il en soit, si vous voulez économiser un peu, le plus simple est d’aller au supermarché pour vous préparer un petit pique-nique dans votre sac, toujours moins cher qu’un resto. N’hésitez pas non plus à aller grignoter un morceau sur les marchés qui proposent en général de goûter les produits locaux à moindre coût. Et si vous logez chez l’habitant, faites les courses, vous verrez la différence !

S’y prendre à l’avance et surveiller les promos

Pour le Canada, je n’étais pas sûre de ma date de départ. Je regardais donc régulièrement le prix des vols quand je suis tombée sur une promotion Air France à 550 euros le billet A/R. 250 euros d’économisés ! Idem pour les logements ou les activités, n’hésitez pas à vous mettre des alertes pour checker régulièrement les offres en cours. Et sachez que parfois, réservez en ligne et en avance permet de profiter de certaines promotions.

Si vous aussi vous avez des astuces à partager, RDV sur la page Facebook d’Easyvoyage, enseigne d’organisation de voyage, ou directement sur leur site internet, pour poster votre astuce de traveler averti avant le 4 juillet. L’astuce remportant le plus de succès se verra remporter un voyage pour 2 personnes au Mexique en hôtel 4*

J’ai posté la mienne et vous ?

Crédit photo : Society

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Tout au long de mon parcours à travers le Québec et les 1500 kilomètres parcourus, j’ai magasiné comme on dit là-bas pour ramener un peu du Canada chez moi.

De mon séjour chez les Caribous, j’ai ramené :

• Des fringues : certaines marques ne sont pas commercialisées en France ou tout simplement dans la région où je vis. J’ai donc été faire un tour chez American Eagles (où j’ai dégoté le sweat ci-dessus) et Forever 21.
• Des magnets : je n’aime pas forcément les bibelots qui prennent la poussière et de la place inutilement. Ma grande manie quand je ramène un souvenir, c’est de trouver des magnets mignons ou rigolos pour habiller mon frigo.
• Des dessous de verre vintage : j’adore le style pin-up des années 50 et j’avais besoin de protéger ma table durant les apéros. What else ?
• Du thé de chez David’s Tea : une institution qui n’a pas encore envahi la France. J’ai jeté mon dévolu sur Lendemain de Veille, un thé vert qui, comme son nom l’indique, sert à calmer la gueule de bois, et Baiser Brûlant qui est finalement un poil trop épicé pour moi.

• Des bonbons multicolores : la faute à Lane qui m’a attiré chez Dollarama, une sorte de Foirefouille québecoise, et qui m’a fait la liste de toutes les sucreries existantes au Canada. Du coup, j’en ai pris plein.

• Des bonbons au savon : pour pouvoir faire des blagues à certaines gourmands

• Du sirop d’érable : produit incontournable de ce joli pays, j’ai appris à le déguster autrement que sur des pancakes, pour sucrer un yaourt ou pour accompagner une glace vanille par exemple. Coup de coeur pour le packaging du bidon.

• Du beurre d’érable : quand la gérante de l’érablière m’a collé ça sur un bâton pour goûter, j’ai fondu de plaisir et ramené 3 pots

• Du cidre de glace : un alcool fort à base de pomme à déguster bien frais en digestif

• De la positive attitude : autant dans l’expérience que dans les clichés que j’ai ramené, j’ai décidé de ramener un symbole physique à travers ce petit livre de chez Urban Outfitters, The Nice Handbook.

Je laisse le mystère planer sur les cadeaux que j’ai offert ou qui sont en attente dans mon placard, ce serait dommage de gâcher la surprise.

Et vous, que ramenez-vous habituellement de vos périples à l’étranger ?

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Une semaine ou presque que je suis revenue de l’un de mes plus beaux voyages… Partie seule sur les routes du Canada où j’ai fait de très jolies rencontres avec l’une d’entre elles des plus marquantes : la rencontre avec moi-même !

J’ai parcouru plus de 1500 kms en voiture, une bonne trentaine à pieds je pense, partagé une bouteille de vin dans une restaurant sauvage à ciel ouvert, regardé un match de hockey avec de parfaits inconnus qui juraient à base de tabernacle, ressenti une joie immense quand j’ai aperçu une baleine à bosses, pleuré devant un coucher de soleil, je me suis sentie toute petite face à l’immensité…

J’ai mis 3 minutes à savoir conduire une automatique, 10 à comprendre comment s’ouvre la trappe à essence ; j’ai eu 2 jours de pluie, 12 de soleil, j’ai colorié le poster de Lane, mangé la meilleure brioche du monde (merci Camille). Je me suis perdue, je me suis retrouvée. J’ai senti la douceur de la vie filer entre mes doigts sans en craindre le dénouement, juste en respirant très fort avec le ventre en me disant « je suis là, j’existe, je suis bien. »

Et j’ai pris plein de photos… (que vous pouvez voir ici)

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6 ans que je veux y aller et demain matin, c’est le grand jour. 7h30 de vol pour atterrir au pays du sirop d’érable et entamer 2 belles semaines de découverte. Je n’ai pas fait de grand voyage depuis l’Australie en 2009-2010, le stress de l’organisation m’a semblé insurmontable, la valise impossible à boucler et l’inconnu trop… inconnu.

J’ai un bon pressentiment, l’impression que plein de choses vont se passer là-bas, que je vais pouvoir passer du temps avec moi-même mais en dehors de mon quotidien. Mon appareil photo est prêt à engranger au moins une tonne de souvenirs pour pouvoir partager avec vous mon expérience canadienne. J’ai pris dans mon sac à dos une chemise à carreaux pour me fondre dans le décor et j’espère croiser la route d’un gentil bûcheron auto-stoppeur pour faire passer la route plus vite entre la Mauricie et le Fjord.

Il est tard, je ne veux pas dormir de peur d’oublier quelque chose mais c’est aussi une façon de me préparer au décalage horaire. Je reviens bientôt et vous souhaite le meilleur pendant mon absence.

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Pratiquement un an depuis que j’ai grimpé les 258 marches du phare du Cap Ferret – non sans mal – avec ma comparse Faustine. Autant de temps que je dois rédiger ce billet (no comment) pour vous donner envie vous aussi de faire un pied-de-nez aux séances de sport loupées et d’arriver, vous aussi, essoufflées mais heureuse tout en haut de ce magnifique point de vue sur le bassin arcachonnais.

Le timing parfait pour vous annoncer sa réouverture pour la saison estivale de 2014. Petite visite guidée en image de ce lieu emblématique de la côte.

53 mètres qui s’érigent devant vous, ce n’est pas rien !Arrivée tout en haut, soufflez un peu et admirez la magnifique vue qui s’offre à vous.

Et pour mieux imaginer l’utilité du phare dans le milieu maritime, une maquette très graphique (le phare, c’est l’allumette à gauche)

Pour découvrir vous aussi ce phare et la vue qu’il offre, il faudra vous acquitter de 6 euros pour les adultes et 4 euros pour les enfants, en plus de gravir ses 258 marches en priant pour ne croiser personne dans l’étroit escalier.

Vous pouvez également rejoindre la page Facebook du phare pour recevoir touts lest infos dans votre fil d’actualité.

Qui sera assez courageux pour grimper tout là-haut ?

Photos prises avec mon ancien iPhone 4

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J’ai toujours voyagé, depuis très jeune et j’aime vraiment prendre quelques jours pour me sentir dépaysée et faire une coupure avec mon quotidien. Quand je parle de voyager, j’ai tendance à parler de l’étranger et je suis toujours partante pour organiser ne serait-ce qu’un week-end à Londres ou à Lisbonne avec les amis (souvent, c’est le budget qui limite nos envies). Mais quand je me rappelle de mes souvenirs de vacances avec mes parents, ça se passe toujours en France ! Je pense que nos esprits de road-trippers nous font quelque peu délaisser notre beau pays et son patrimoine.

Effectivement, pourquoi ne pas s’organiser un circuit pour découvrir une région ? Pourquoi pas sa propre région d’ailleurs !?! Depuis que je vis à Bordeaux, je n’ai pas beaucoup arpenté l’arrière-pays et ses vignes qui s’étendent à perte de vue ; je n’ai jamais été dans les Landes ni au Pays Basque. Et je me dis que cet été, pendant que les autres seront en train de se dorer la pilule vers des destinations exotiques, je peux très bien passer le week-end à connaitre ma région (l’Aquitaine) et ses spécificités (et goûter de bons vins en me dorant moi aussi au soleil).

Je pourrais aussi rejoindre ma cousine dans la région marseillaise et me prendre au jeu de la randonnée (mouhahaha). Ou bien pousser jusque Lyon et aller à la rencontre d’une partie de ma famille que je ne vois pas souvent. Ou encore prendre un billet pour Avignon qui me fait envie depuis que j’ai lu un des bouquins de Claudie Gallay. Ou prendre mon sac à dos, en mode lonesome cow-boy, et choisir ma destination un peu au hasard, et un peu avec le site France Voyage qui propose  des idées de circuits pour chaque région de notre beau pays. Le site propose à Mr Tout le Monde d’organiser tranquillement ses vacances en France grâce à ses 500 000 pages autour du tourisme en France, traduites en 6 langues, et également disponible sur mobile, très utile lorsqu’on utilise la géolocalisation. La cerise sur le gâteau, c’est que la consultation est complètement gratuite !

Une façon de s’évader sans avoir besoin d’aller très loin, les vacances à Port-Barcarès restant dans mes meilleurs souvenirs d’enfants !

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Pourquoi ce pont ?

A part être joli dans le décor, le Pont de Pierre avait un but précis lorsqu’il fut construit sous les ordres de Napoléon : rattacher les 2 rives pour facilites les échanges et les déplacements au sein de la ville. Manque de bol, il fut un peu long à construire (tu m’étonnes) et il fallut de nombreuses années pour qu’il soit « praticable ». Au départ, la traversée était payante, aussi bien pour les voitures/camions que pour les piétons, une manière de rentabiliser le coût de construction. Quand on sait que les ouvriers ont fabriqué les petites briques avec le sable récupéré au fond de l’eau, on peut penser à l’arnaque… A moins qu’on parle de la centaine de troncs d’arbres nécessaires pour faire tenir un seul pilier.

Les troncs c’est solide et ça ne pourrit pas dans l’eau du moment qu’il n’y a pas d’air (Jamie Gourmaud sors de ce corps !). Mais avec le temps, les marées, les courants, les camions, le tram qui lui passe dessus, le Pont de Pierre a pris un peu cher et s’affaisse de quelques millimètres chaque année et pas de façon régulière sinon c’est pas drôle. Donc, si vous avez l’oeil vif, vous constaterez qu’il n’est pas droit, et ça le fragilise le pauvre bichon !

Comment faire pour le réparer ?

Compliqué… Il y a déjà quelques « piles » qui ont été renforcées par des grosses barres d’acier qu’on a placé à l’intérieur de chaque pilier, mais l’arrivée du tram a compliqué les choses et il est désormais impossible de faire subir le même traitement au reste du pont sans devoir démonter tous les rails. Un vrai bordel, et si on coupe totalement l’accès au pont, bonjour les bouchons en centre-ville !

En attendant de trouver une solution (c’est prévu pour 2015 apparemment), il y a des gens qui surveillent le pont et s’assurent qu’il va bien. Mesure des vibrations du tram, balade dans les tout petits conduits de chaque arche et placement de pierre autour des piliers pour diminuer les effets de courant et de marée : tout est mis en oeuvre par la ville pour conserver ce chef d’oeuvre d’architecture.

Le pont en chiffres :

– Construction en 1810. Inauguration en 1822.

– 87 mètres de longueur, 19 de large : une belle grosse dame

– 17 arches et 16 piliers composés de 250 troncs de pins des Landes appelés « pieux »

Funny fact :

– Si le nombre d’arches correspond exactement au nombre de lettres qu’il y a dans Napoléon Bonaparte, ce n’est que pure coïncidence.

– Si vous voyez un étudiant bourré se noyer dans la Garonne, ne plongez surtout pas à sa rescousse ! La Garonne est un des pires fleuves en matière de courant et de tourbillon, et vous serez vite noyé à votre tour, même en étant très bon nageur. Jetez-lui plutôt une des bouées accrochées au pont et priez.

– Idem pour les bateaux, il faut être pilote et mettre plein gaz aux abords du pont sous peine de se fracasser contre les piles. Tout ça à cause du phénomène de tourbillon qui se crée aux abords de chaque pilier. C’est beau la nature quand même (et dangereux) !

– Si tu veux visiter le Pont de Pierre et tout connaitre de ses secrets, tu peux contacter la CUB qui organise des visites, ou attendre les Journées du Patrimoine.

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« Ça te dit de passer un week-end sur la côte en mode relaxation, détente et thalasso ? »

Une phrase toute simple qui achève de convaincre ma copine Amandine de poser son samedi matin et de prendre la direction d’Arcachon pour un week-end Thalasso entre copines chez Thalazur Bains d’Arguin.

Après la fameuse grasse mat’ du samedi matin chacune de son côté, on se rejoint pour prendre la route en croisant très fort les doigts pour ne pas être emportée par la houle qui parait-il est déchaînée sur la côté Aquitaine. Météo France prédit l’apocalypse pour la nuit de samedi à dimanche mais on est sûres qu’avec le bruit des remous du jacuzzi, on n’entendra rien.

Arrivées à destination, un accueil très souriant et des explications claires sur le programme des réjouissances, nous découvrons notre chambre d’amoureuses (comme j’étais enregistrée au nom de Mr…) (j’aurais dû m’épiler). Je suis devenue très sensible aux détails des chambres d’hôtel donc je scrute. C’est propre, il y a de la place, assez de papier toilette et la vue sur la piscine est pas mal même avec le mauvais temps. Petit bémol sur la douche et le fameux rideau plastoc que j’exècre.

2 peignoirs moelleux nous attendent sur le lit, comme la promesse de doux moments à savourer. Une paire de chaussons aussi, taille 42 je pense, vu le ridicule de mes mini-pieds une fois glissés à l’intérieur.

16h30, l’heure d’aller patauger dans le parcours marin de 250m². Mes jambes me piquottent et c’est alors que je comprends que c’est de l’eau salée dans la piscine (blonde) et que me raser les gambettes le matin-même n’était pas la meilleure de mes idées (blonde bis). Pas mal de monde barbotte, on fait donc vite le tour et pas de place pour s’affaler sur les transats. Loin de se laisser abattre, nous décidons d’aller vérifier combien de temps de cuisson est nécessaire pour devenir bonnasses du cheveu, de la peau et du booty (comprendre, on s’est calées dans le hammam puis le sauna).

Comme on a décidé que c’était la fête, nous n’avons pas testé le restaurant de l’hôtel et avons délaissé l’option diététique au profil d’un restaurant marocain bien gras – Al Mounia – bravant l’horrible tempête pour une envie de couscous (en vrai, il a plu 3 gouttes). Ensuite, nous n’avons pas demandé notre reste pour laisser Morphée nous accueillir au milieu des oreillers moelleux de la chambre.

Le lendemain, c’est pas la même histoire. Lever 7h45. Un dimanche. Alors même si j’ai pris des pancakes au sirop d’érable pour faire passer la pilule, le réveil fut plutôt cruel. Mais dans nos esprits embrumés, une seule phrase : « on va se faire papouiller ! »

En vrai, on commence par 30mn de renforcement musculaire, avec la douche froide pour rentrer dans le bassin. Autant te dire que je suis bien réveillée cette fois. On est 4 courageuses ridiculeusement coiffées de nos bonnets de bain à faire des mouvements de jambes dans l’eau. Je révise les cours d’aquagym dans ma tête et je comprends pourquoi on dit que l’efficacité est redoutable. A 9h30, on nous libère enfin, direction les soins, les massages, l’orgasme, tout ça !

Nous avons eu droit au combo bain hydromassant et hydrojet auquel je me suis personnellement rajouté un petit modelage aux algues de 15mn, histoire d’être au top. A chaque soin, on vous demande quelle est votre préférence : relaxant, revitalisant, spécial dos, etc… J’ai choisi un mix relaxant pour le bain hydromassant et revitalisant pour l’hydrojet mais Amandine vous dira qu’en choisissant le total combo revitalisant, on chope des cuisses de stars (en gros, ça raffermit la couenne).

Après tout ça, on est épuisées et surtout, on a faim. Il fait beau (mais quelle est cette tempête dont tout le monde parle) et c’est la Chandeleur, alors direction la crêperie !

Pour la digestion et la culpabilité, on retourne au SPA et on enfile nos baskets pour tester la salle de sport (petit bémol, 5 machines c’est un peu juste pour une salle de sport). Après 25 mn de steps difficilement tenues, on décide de se refaire cuire un peu à la vapeur et puis comme c’est dimanche et qu’il faut quand même pas déconner, on part se cacher dans la pièce silencieuse, là où il y a des transats avec des matelas et des plaids bien chauds. Je fais semblant de lire mon bouquin. Amandine, elle, ronfle carrément.

18h00, la bave aux lèvres et complétement décontractée, je propose à ma copine d’amorcer un dur retour à la réalité, à base de rocade et de bouchons. C’est fini le week-end…

Merci à Thalasseo de m’avoir accordé sa confiance pour tester les installations de Thalazur Bains d’Arguins.

Les plus :

– L’eau salée, qui fait vraiment du bien à la peau mine de rien (cicatrisation au max)
– Le sourire du personnel
– Les soins vraiment au top

Les moins :

– Parcours marin un peu « juste » au niveau de la taille et des activités
– Quelques vétustés, des petites rénovations seraient vraiment top
– La salle de sport, si on reste plus de 2 jours

Pour un week-end en thalasso, je vous conseille :

– De vous épiler à l’avance Mesdames, histoire d’éviter tout désagrément et réactions inappropriées
– De prévoir des crèmes doudoux pour après la piscine, surtout si l’eau est salée.
– De glisser dans votre valise, un bonnet de bain et des tongs, pour éviter d’avoir l’air trop ridicule avec ceux fournis pas le SPA (payants)

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New-York, ses buildings immenses, Central Park, sa healthy food, Manhattan, ses escaliers de secours si typiques de nos séries préférées, sa Statue de la Liberté, Time Square, les Carrie Bradshaw de l’Upper East Side, les crownuts (si tu ne sais pas ce que c’est, clique), ses milliards de gens, de possibilités, de rêves…

Lors de mon voyage NYC, je me vois bien revivre en live les 32 téléfilms à l’eau de rose que j’ai vu et revu, me mettant dans la peau de la wannabee journaliste qui hésite entre le job et le mec de ses rêves, toute vêtue de haute-couture alors qu’elle n’a pas un rond. Et puis, je pourrais enfin regoûter aux french fries toutes ondulées comme mes chips préférées et ne plus avoir d’excuses pour tester chaque soir un nouveau burger.

Ou peut-être que je serai trop occupée à en prendre plein les mirettes.

Crédit photo : Crescentmoon06 – Vivnsect – Skycraper Page – Newyorkcityfeelings

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