Les cadeaux de Noël, ça sert parfois à découvrir de nouveaux auteurs ou artistes. Un livre ou un CD, c’est le genre de cadeaux abordables qu’on peut faire à n’importe qui, sans vraiment se tromper (à part offrir le best-of de Metallica à quelqu’un qui n’aime que le classique, mais bon).
Le nombril
C’est le titre d’un des derniers privilégiés qui a partagé ma couche récemment.
Quand Ginie m’a demandé si je voulais découvrir un nouveau roman qui était vraiment bien, j’ai acquiescé sans presque réfléchir. C’est une femme de goût, c’est mon amie, ça doit donc être un livre à lire. C’est comme ça que j’ai eu le premier roman d’Elisabeth Cadoche, Le Nombril, entre les mains. Ensuite, j’ai lu la 4ème de couverture, histoire de savoir à quel genre de roman j’avais à faire.
Le pitch : l’auteur est né sans nombril et a été adopté à sa naissance. Cela suscite en lui de nombreuses questions auxquelles il décide de trouver des réponses à la mort de sa mère. S’en suit une histoire farfelue sur la recherche de ses origines, et un peu de lui-même.
Nouvellement installé dans ton appart ? Découvre Switch by AXA !
Ça n’a échappé à personne : c’est la rentrée. En dehors des sentiments ambivalents que ça fait naître en moi, c’est la période « nouveau départ » pour pas mal de gens autour de moi, plus symbolique que le Nouvel An puisque c’est souvent l’occasion de changer de ville (pour les études ou pour un nouveau travail) et donc de prendre un nouveau départ.
L’autre jour, je m’amusais à calculer combien de fois j’avais déménagé (trop de fois dirait mon père) (ce qui est totalement faux). J’ai compté 10 déménagements en 31 ans de vie, en mettant dans la liste la fois où je suis restée juste un mois à Toulouse avant de revenir fissa dans les jupes de ma mère. Ma mère justement qui s’est portée caution à chaque fois pour rassurer les propriétaires, épaulée de mon père qui est devenu pro du « tetris de déménagement » pour que toutes mes affaires rentrent dans son camion.
Je vous épargne la danse des dossiers qui font 100 pages pour prouver qu’on va toujours payer son loyer et jamais faire un seul petit trou dans les murs. Et ensuite, les prélèvements/virements à mettre en place, les virées chez Ikéa pour meubler son château et les papiers à faire pour assurer tout ça en cas de pépin. Pour donner un coup de pouce aux jeunes, Switch by AXA propose une assurance habitation spéciale étudiants et jeunes actifs adaptée à leurs besoins et surtout à leurs budgets. Croyez-moi, c’est vraiment utile, surtout le jour où un orage détruit le toit de l’immeuble et que l’appart juste en dessous, c’est le vôtre (truestory) !
Et comme les jeunes, ça fait aussi de la coloc’, des études à l’étranger et du scooter, Switch by AXA vous propose aussi tout un package d’assurances pour vos études à l’étranger ou pour votre scooter assure selon vos besoins.
Preuve que Switch by AXA se met à la page, la création du hashtag #INSTASWITCH en septembre dernier à l’occasion d’un concours de rentrée permettant de remporter de quoi vous accompagner pour votre déménagement et équiper votre studio nouvellement acquis avec, par exemple, de l’électroménager flambant neuf. Une bonne façon de sensibiliser la population des 18-30 ans à travers les réseaux sociaux. Et comme les relations à distance, c’est parfois frustrant, l’équipe Switch by AXA est venue rencontrer directement les étudiants de Nantes, Paris et Bordeaux pour leur expliquer l’utilité d’une assurance habitation grâce à une mise en situation en live. Avec tout ça, plus possible de dire qu’on n’y avait pas pensé !
Et vous, le souvenir particulier d’un déménagement ?
Summer Hits 2014
Le Hangar Darwin
C’est purement par hasard que j’ai découvert ce lieu posé au milieu de nulle part sur la mal-aimée rive droite de Bordeaux, juste dans l’optique d’être immortalisée par le talentueux Nicolas dans le cadre du Tour de France de The Tattoorialist.
J’ai donc découvert un endroit brut mais qui respire la vie, rempli de graf’ colorés, de grands espaces aménagés, de déco industrielle et de projets en tout genre, animés samedi dernier par la Fête de la Musique. Cadre parfait pour siroter une bière locale en compagnie des bourgeois bohèmes du coin.
Rencontrez Igit de The Voice à l’occasion de la Fête de la Musique
Ma passion pour le chant m’a toujours attiré vers les émissions de télé-réalité autour de la musique. Bercée par la Star Academy durant mon adolescence, j’ai ensuite suivi les saisons de la Nouvelle Star et maintenant de The Voice. En général, je ne regarde pas jusqu’à la finale : mon moment préféré reste les premières sélections où l’on découvre l’univers du candidat. Ensuite, je suis souvent déçue par les arrangements et interprétations des productions.
Si je vous parle aujourd’hui de The Voice, c’est que j’ai la chance de pouvoir offrir à l’un(e) d’entre vous une rencontre avec Igit, le crooner à la voix teintée de blues, sosie de Guillaume Canet à l’occasion de la Fête de la Musique, ce samedi 21 juin à Bordeaux. Le lieu du concert est encore tenu secret mais il aura lieu à proximité de la Promenade Sainte-Catherine.
Soutenez le Tour de France de The Tattoorialist
Comme vous (ne le) savez (peut-être pas), je suis une très grande addict des tatouages. Je suis fascinée par les gens qui passent le cap d’avoir tout un bras ou une jambe tatouée, je fonds devant le potentiel sexy d’une Inked Girl (spécialement les Suicide Girls) et j’arbore moi-même de jolis tatouages dont 2 que je me suis offert 3 jours avant mon 31ème anniversaire.
Une jonquille pour Curie avec les jardineries Truffaut
Comme vous le savez peut-être (ou peut-être pas), depuis que j’ai perdu ma maman de cette satanée maladie, la lutte contre le cancer me tient particulièrement à cœur. Je tiens donc à apporter ma pierre à l’édifice, dès que je le peux, et ce blog est un parfait moyen de relais pour sensibiliser à une certaine échelle.
Le jour où j’ai écrit à l’Amour est dans le Pré
Depuis que l’émission L’Amour est dans le Pré existe, j’ai tanné mes potes agriculteurs et célibataires les uns après les autres pour qu’ils s’inscrivent. « Tu verras, c’est marrant, t’auras plein de lettres de jeunes filles amourachées et tu pourras même choisir celle avec les plus gros seins. » Mais jamais je n’aurai pensé que ce serait moi qui dégainerai mon papier à lettres fleuri pour supplier qu’on me montre comment traire les vaches (dire que je n’ai jamais voulu le faire chez mon grand-père !)
Le « Tout petit rien » de Camille
Il est désormais rare que je me pose plusieurs heures pour dévorer un bouquin sans regarder l’heure. C’est pourtant ce qui m’est arrivé lorsque j’ai ouvert Un tout petit rien. Peut-être la faute à mes 3h de train. Peut-être la faute à mon overdose d’écran. Peut-être la faute au talent de Camille Anseaume.
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